1. Le fantasme de Sayuri


    Datte: 03/06/2019, Catégories: fhhh, couplus, inconnu, hépilé, hotel, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, fdanus, init, Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... retrait dans l’ombre. Elle se retourna à nouveau et laissa choir sa fourrure au pied du cube de satin sur lequel elle se tenait. Elle portait maintenant une fine robe noire qui moulait littéralement son corps. On ne voyait que sa nuque et ses beaux mollets. La blancheur de sa peau contrastait avec le noir de sa tenue.
    
    Le groupe n’en avait que pour Takako. Ils l’invectivaient. Certains s’étaient assis afin d’avoir un autre angle de vue et toujours avec le sexe tendu en main.
    
    Sayuri avala difficilement sa salive. C’était la première fois qu’elle se dévoilait devant tant de monde et surtout devant un gaï-djing. Mais les désirs de Yoshio étaient de continuer sans refermer le store. Aussi, décida-t-elle de s’exécuter.
    
    Marc vit le modèle se retourner doucement. Son profil accentuait maintenant ses vraies formes. Il se dit que pour une japonaise, elle avait vraiment un beau petit cul bien rond et une poitrine, bien que légèrement tombante, qui devait faire un bon 90C.
    
    Son cœur s’arrêta un instant lorsqu’il découvrit la face avant de la fameuse robe de Sayuri : il n’y avait rien, RIEN, absolument rien. Juste deux petites lanières élastiques qui passaient sur le ventre et au-dessus de sa poitrine.
    
    La douce femme du parrain se dévoilait entièrement. Tout le monde pouvait voir les moindres détails de son sexe lisse, ses lèvres entrouvertes, le promontoire un peu enflé par l’excitation sans doute. Sa poitrine, dont les bouts étaient rougis par du rouge à lèvres, pointait ...
    ... vers les spots lumineux.
    
    Marc remarqua deux ronds percés de chaque côté, dans la vitrine. Ils étaient équipés d’une sorte de gants géants de chirurgien, un peu comme dans les laboratoires de manipulation de matières dangereuses. Il interrogea Takako du regard.
    
    — Ce sont des « sensors ». Tu peux y passer les mains et toucher le modèle à travers les gants. Fais-le, si tu veux. De toute façon, si elle ne veut pas, elle te le dira.
    
    Son sang ne fit qu’un tour. Il se leva d’un bond et enfourna les « sensors » de ses mains. Il commençait à la toucher. C’était très bizarre comme sensation. De plus, le son passait quand même un peu à travers la vitre. Il pouvait entendre les gémissements entrecoupés de paroles provenant du fond obscur de la salle.
    
    Marc s’enhardit et se saisit du restant de la robe qui disparut sous les applaudissements du groupe. Tiens, il les avait oubliés, ceux-là.
    
    Il se risqua à caresser cette fente superbe et y fit accidentellement entrer un doigt. La dame devenait un pantin désarticulé. Elle se cabrait, les mains touchaient la vitrine. Elle se tournait doucement vers la droite comme pour se cacher. Mais en fait, elle se dévoilait au parrain de Takako qui ne perdait rien de la scène, assis dans son fauteuil. Plus elle se tournait et moins il était facile pour Marc de garder le contact. Que voulait-elle faire exactement?
    
    Elle se retourna complètement, offrant une vue sur ses fesses. Elle continua sa rotation et se cambra pour offrir son petit trou ...