Le doigt dans l'engrenage 2. Marie
Datte: 03/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Romain69130, Source: Hds
... devant moi. Devant nous, car je sens, aux caresses de mon mari, que lui aussi regarde.
Il est nu. Ce n'est pas un Apollon. Pourtant il dégage une masculinité surprenante. Une toison dense sur le torse et les cuisses. Une toison, contrôlée, atténuée, puis absente vers le sexe et les couilles. J'en ai vu des hommes très "poilus", épilés vers le pubis provoquant une frontière artificielle presque choquante. Pascal a manifestement sculpté sa toison pour la rendre progressivement absente. Une preuve de la complexité de cet homme pourtant d'apparence bien commune.
Il est nu et il bande. Là aussi j'apprécie. Certains de ces amants d'un soir avaient besoin de mes caresses pour bander. Lui, Non. C'est un compliment pour moi.
Il est à un mètre, mais c'est comme s'il était avec moi.
Je le vois repousser tout ce qui était sur la table basse.
— Marie. Venez.
Il me montre de la main cette table qu'il a préparée.
— A genoux….Oui…Comme cela….
Je m'exécute. Je me place sur cette table, à genoux, en réalité en levrette, à quatre pattes, déjà chienne de cet homme qui ne m'a pas encore touchée. Je dois paraitre bien "débraillée" avec ma jupe retroussée et ma culotte certainement déjà tachée de mes caresses. Mes seins pendent librement. Le soutien-gorge n'est plus qu'une bande de tissu.
Il me touche. Sans le voir, je l'imagine. Il tire sur ma culotte juste assez pour me rendre disponible. Je sens son membre se frotter à ma fente, Comme s'il voulait vérifier que je ...
... suis bien prête pour la saillie. Que la femelle s'était-elle même mise en état de se faire prendre !
Il entre comme en terrain conquis. Je suis toute à lui. Il a suffi de quelques mots, de quelques demandes, des suggestions, et je suis sa chose.
Il me possède lentement. Sa queue me travaille, m'extirpant des couinements que je ne me connaissais pas. Pourtant il n'est pas beau. Ni gros. Ni long. Ni, ni, ni.. Mais c'est bon. Rarement je n'ai senti si bien une bitte coulisser en moi. Et Chris ! Chris qui a quitté la protection du canapé et qui nous regarde. C'est différent ! Pourquoi ? Combien de fois mon mari m'a-t-il "maté" alors qu'un autre me baisait ? Pourtant lui aussi semble différent.
L'homme m'enfile son gourdin. A chaque fois qu'il se retire je me sens vide et inquiète. Et s'il ne revenait pas ?
— Elle est belle votre femme. N'est-ce pas Christophe ? Vous aimez la voir ainsi. Entre les mains d'un autre. Jouir par un autre. Cela vous excite, n'est-ce pas ?
— Oui.
— Alors montrez lui ce qu'elle provoque.
Chris enlève son pantalon, et le reste, et nous exhibe sa bitte de paysan. Verge courte mais au combien massive, sculptée de veines qui courent sous la peau. Une bitte de brute mais contrôlée par le meilleur des maris. Amant attentif. Epoux partageur.
— Regardez Marie, regardez. Vous avez la chance d'avoir un mari qui ne veut que votre bonheur.
— Regardez Christophe, regardez cette femme qui est la vôtre. Vous l'avez éduquée, dirigée pour son ...