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Le doigt dans l'engrenage 2. Marie
Datte: 03/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Romain69130, Source: Hds
... vous le voyez un chemisier assez fin, mais pas transparent. Dessous un soutien-gorge qui ne fait que soulever sa poitrine. J'adore ces demi-balconnets. En plus c'est le cadeau du premier amant de ma femme. Franck. — A quelle époque ? — Dix-huit mois. Je réponds. Il me semble voir un éclair de contrariété chez Pascal. Mais je me redresse et respirant plus profondément je sens parfaitement mes tétons s'écraser contre le chemisier. D'ailleurs le regard de l'homme en est le révélateur. — Et pour le bas ? — Comme vous le voyez petite jupe en cuir noir, assez moulante et dessous petite culotte blanche. — Marie, vous voulez bien me montrer cela. Mettez vos deux pieds sur la table et écartez lentement les jambes. C'est une demande qu'aucun amant ne m'a proposé. Christophe me le demande parfois pour faire la cochonne mais d'habitude les hommes veulent aller plus au but. Je m'exécute. En écartant les cuisses la jupe remonte et bientôt Pascal a une vue plongeante sur ma dentelle. — Christophe, vous voulez bien défaire les boutons du chemisier. Lentement aussi. J'aime lorsque le mari, dévoile sa femme devant moi. Faite le tour du canapé. Je n'ose détourner les yeux de Pascal. Je suis comme hypnotisée par ce regard scrutateur. Mais je sens bien que Chris bouge et que bientôt deux mains passent au-dessus de mes épaules et entreprennent de défaire lentement chaque bouton. C'est étrange mais j'ai chaud. Maintenant me montrez nue et bien pire avec un inconnu ne ...
... me dérange plus. Ma pudibonderie est un lointain souvenir. Ma pudeur l'a rejointe. Mais devant Pascal cette simple exhibition me trouble. Je sens qu'à chaque bouton, Chris ouvre largement le chemisier. Il arrive au dernier. — Enlevez-lui. Je l'aide en me décollant du canapé. — Magnifique. Vous avez raison. Cela lui va très bien. Chris bouge. — Non, non, restez derrière elle. — Marie ? — Oui. — Passez votre main dans votre culotte…….Bien…..Caressez-vous….Non, ne repoussez pas votre dentelle. Je veux juste voir le tissu comme une ombre qui souligne votre main….Bien….Bien….Vous êtes humide ? — Oui. Dis-je étonnée que cette demande me trouble tant. — Continuez….Non, regardez-moi. Ne quittez pas mon regard……Parfait…. Christophe ! — Oui. — Je veux que vous caressiez la poitrine de votre femme. Juste des caresses. Effleurez les lobes. Effleurez les tétons. Je veux les voir grandir et pointer encore. Le silence n'est maintenant que magnifié par nos respirations. De longues secondes, une minute peut être et… — Marie, vous aimez qu'on vous regarde ? — Oui. — Christophe. Vous sentez votre femme excitée ? Ses tétons sont des révélateurs. — Oui. — Continuez. Marie ne me quittez pas du regard. Je ne risque pas. Je ne suis que chaleur, caresses, envie. J'ai glissé un doigt dans ma fente. C'est une grotte humide. Je n'ose trop caresser mon petit bouton. Je le sens trop sensible. Et puis je vois Pascal se lever, enlever ses habits ...