1. En ton absence


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, fhh, jeunes, copains, forêt, Masturbation préservati, pénétratio, jouet, attache, orties, init, lettre, prememois, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... Alors pourquoi ne pas le faire aujourd’hui ?
    — S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir…
    
    Assise, je me débarrasse de mon top. Ils me regardent et se couchent bientôt sur le ventre, pour ne pas me montrer leur érection. C’est pourtant plutôt flatteur pour moi, qu’ils bandent rien qu’en voyant mes seins. J’ai quand même eu le temps d’apprécier le gonflement… significatif du contenu de leur slip de bain. Je retourne dans l’eau. Ils ne me suivent pas, et pour cause…
    
    Un autre garçon, Quentin, un ancien du lycée, vient me rejoindre.
    
    — Je suis content de te voir, Sophie.
    — Mais moi aussi, Quentin.
    — Je ne t’ai pas oubliée, tu sais… Qu’est-ce que tu fais avec ces deux garçons ?
    — Ce sont des amis de mon frère.
    — Ah bon.
    
    Il semble soulagé.
    
    — On pourrait se revoir, non ?
    — On pourrait.
    
    J’aurais pu dire non. Au lycée nous nous embrassions, nous nous tripotions un peu, mais sans jamais faire l’amour. Il y a eu quand même ses doigts au bord de ma chatte, un jour, et ma main un peu dans son slip. Il s’en est fallu de peu, en ce temps-là… Il a de jolis yeux bleus, une carrure d’athlète. Il était bon en gym, pas moi.
    
    — Tu te souviens, Sophie, quand on travaillait ensemble ?
    — On ne faisait pas que travailler.
    — Je t’ai aimée comme un fou. Et je t’aime encore.
    
    Il doit mentir. Je ne réponds pas. Il insiste :
    
    — Alors, on se revoit ?
    — Demain matin.
    — Chez toi ?
    — Bien sûr, comme quand nous préparions le bac ensemble.
    
    En plus de la gym, il était bon en ...
    ... maths, et moi en philo.
    
    — À quelle heure ?
    — 10 heures, ça te va ?
    — Bien sûr.
    
    Je ne lui dis pas que je serai seule, mes parents étant absents pour la journée. Je veux me réserver une porte de sortie, au cas où je n’aurais pas envie que les choses aillent trop loin. Je rejoins mes deux amoureux. Ils semblent s’être calmés, ils sont assis.
    
    — Qu’est-ce qu’il voulait, ce type ? me demande Julien.
    — Il était au lycée avec moi. On a bavardé du bon vieux temps.
    
    Nicolas insiste :
    
    — C’est tout ?
    — C’est tout.
    — Ah, tant mieux !
    
    Je souris. Le temps passe. Soudain :
    
    — Si tu venais visiter notre cabane ? propose Nicolas.
    — Une cabane ?
    — En face, sur l’autre rive.
    
    Je veux bien. Nos vêtements mis à l’abri dans la sacoche du scooter de Nicolas, nous traversons. Il est même inutile de nager, on a pied partout. Sécheresse de cet été ! Nous voici sur l’autre rive. Ils me précèdent. Les fesses de Julien sont plus charnues que celle de Nicolas. Il nous faut longer un champ de blé qui vient d’être moissonné, puis nous faufiler entre quelques genévriers pour arriver dans un petit bois de pins et découvrir leur cabane. Alors Nicolas, d’une voix autoritaire :
    
    — Entre dans notre wigwam, captive au visage pâle !
    
    Je pénètre. Me voici assise entre eux deux.
    
    — Je suis donc votre captive ?
    — C’est un vieux fantasme, explique Nicolas. Nous avons souvent joué aux Indiens ici, en pensant à toi.
    
    Je veux appuyer mon dos contre la paroi de branchages mais elle cède. ...
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