Je remplace ma collègue Sophie (3)
Datte: 02/03/2018,
Catégories:
Transexuels
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... mains s’étaient agrippées à mes hanches. Même s’il me tenait fermement par la taille, je savourais quand même la douceur de ses mains sur ma peau. Ça y est maintenant Gilles exerçait une pression à l’entrée de mon petit trou et déjà son prépuce c’était faufilé dans le noir. Déjà ce matin je m’étais fait visiter, mais ce coup-ci il prenait tout son temps, là je découvrais que je pouvais contracter mon sphincter. J’avais maintenant l’occasion, quand je le voulais, de bien mieux sentir son sexe entrer en moi, tout en sachant qu’ensuite il allait me limer pendant un petit bout de temps. À titre ponctuel, lui aussi contractait la pression sanguine dans son sexe, je le sentais aussi bien mieux en moi. J’appréciais aussi le fait de sentir son sexe et le haut de ses cuisses venir se coller contre mes fesses par alternance, à chaque fois qu’il était au fond de moi une grande partie de nos jambes se collait les unes aux autres.
Pendant qu’il me limait, je regardais mon bureau, celui de Sophie et en même temps je soupirais de plaisir à chaque fois qu’il rentrait à fond dans mon tunnel non éclairé.
— Tu sais ma chérie, tu es faite pour te faire prendre par derrière.
— Tu es faite pour vivre en femme.
— Mon petit doigt me dit que tu vas donner du plaisir à beaucoup d’hommes.
Gilles me parlait avec beaucoup de douceur, ses mots étaient des caresses qui me touchaient en plein cœur. Le soleil éclairait l’entrée du cabinet, j’avais l’impression qu’il voulait voir ce qui ...
... m’arrivait, on aurait dit un voyeur. Je pense que j’avais le visage radieux, tout à fait présentable pour n’importe quel voyeur, d’aussi loin qu’il vienne. À force de me ramoner le fondement, Gilles a fini par espacer ses coups de reins tout en contractant son sexe, je savais qu’il allait me déposer sa semence au plus profond de moi dans quelques instants.
J’ai essayé de savourer ces derniers instants à le sentir me besogner, j’essayais d’imaginer ce que devait ressentir Sophie quand elle était dans ma position. Ça y est maintenant, mon patron était totalement au fond de moi et ne bougeait plus, je sentais juste maintenant sa verge se contracter régulièrement et je savais qu’il me déversait son nectar dans mes entrailles. Il a encore donné quelques coups de reins et je savais que c’était juste pour me balancer les dernières gouttes.
— Tu es vraiment bonne ma chérie.
— Je ne sais pas si tu vas prendre goût à te faire prendre par ton patron.
— Mais je peux te dire que ton patron a déjà pris un goût à te prendre.
Claude était toujours emboîté dans mon boyau, mais il ne bougeait plus, il était en train de reprendre ses esprits. Je sentais son sexe perdre du volume, pour compenser, je contractais mon anneau rectal, peut-être était-ce ma façon à moi de dire au revoir à son sexe et à bientôt. Pendant qu’il reprenait ses esprits, il me caressait les fesses mais surtout les hanches, je peux vous dire que c’était sans doute ma zone érogène la plus sensible.
J’aurais voulu ...