1. Je remplace ma collègue Sophie (3)


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... faisaient très envie. J’en étais à me dire que je n’aimais pas qu’il téléphone pendant que je le suçais, car cela lui bloquait une main et du coup j’avais moitié moins de caresses. Heureusement la communication n’a pas été trop longue, j’ai senti de nouveau ses deux mains en train de me caresser le dos, les hanches et surtout les fesses. Voilà maintenant un bon quart d’heure que je le suçais avec passion, je ne voulais plus lâcher son sexe, je voulais qu’il me balance la purée dans la bouche. Maintenant, à travers ma douce robe, il m’écartait les fesses pour accéder à ma raie culière et venir exciter mon petit trou.
    
    Même si mon tanga n’était pas un gros remparts, heureusement ma robe était là pour me protéger de toute intrusion digitale dans mon petit cul. Gilles n’avait pas besoin de m’introduire son doigt pour me chauffer, juste le fait de passer dans les parages me mettait dans tous mes états. J’en étais maintenant arrivé à regretter d’être protégé par ma robe et mon tanga car je le désirais vraiment, son majeur dans mon fondement. J’étais vraiment heureux qu’il me traite ainsi et j’en voulais maintenant encore plus, j’en étais maintenant à envier ce que vivait, depuis je ne sais combien de temps, Sophie avec son patron. J’étais en train de réaliser qu’au rythme où j’allais, j’étais parti pour me retrouver en concurrence avec ma collègue pour faire du bien à mon patron. En même temps, le doute s’installait en moi et s’il avait une petite préférence pour les culs ...
    ... masculins. Bon pour l’instant il ne fallait pas que je me déconcentre, il fallait que je donne du plaisir à mon patron. Subitement il s’est retiré de ma bouche avec beaucoup de délicatesse, il m’a pris par la main pour m’amener à son bureau il m’a mis à la place où il s’assoit d’habitude puis m’a allongé.
    
    Je ne sais pas s’il avait prévu le coup à l’avance mais son bureau était bien rangé, maintenant mes bras pendaient à l’avant du bureau. Mon patron a soulevé l’arrière de ma robe pour le déposer sur mon dos, il m’a ensuite débarrassé de mon tanga et mon collant. Je savais que maintenant il allait me prendre, comme il prenait régulièrement Sophie, je le sentais maintenant me caresser les jambes les fesses et même un peu le bas des hanches. Je comprenais maintenant pourquoi il m’avait envoyé chez l’esthéticienne, c’est vrai qu’il était vraiment agréable que de sentir ses mains se promener sur mon corps dépourvu de tout poil. Dans le parcours de ses caresses, il passait de plus en plus régulièrement entre mes deux lobes fessiers. À chacun de ses passages, je désirais que ses doigts s’attardent sur mon intimité, pour essayer de le motiver à rester sur place, j’ondulais des fesses et il m’arrivait même de les reculer. Maintenant en plus de ses mains, je sentais son sexe qui me caressait l’entre- fesses, ce dernier s’écartait de temps à autre de ma raie pour se frotter contre le gras de mes fesses.
    
    Maintenant son sexe était en train de se positionner à l’entrée de ma chatte, ses ...