La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°950)
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... main sur ma tête et d'une légère pression, me fit descendre encore plus bas . Je ne résistais pas, descendis et posais mes lèvres sur son sexe . C'était la première fois que ma bouche embrassait un sexe de femme .
L'odeur me plut, la texture de ses lèvres me plut, la petite bosse que faisait son clitoris me plut , je dardais ma langue entre ses lèvres, et la gouta . Cela me plut aussi .
Alors sans plus d’inhibition, je la pris à pleine bouche . J'enfonçais ma langue aussi loin que je pouvais, la remontais pour partir à l'assaut de son clitoris, elle gémissait, se tordait, ondulait . Elle me plaquait la tête contre elle de ses deux mains . Elle me guidait pour faire grandir et éclore son plaisir . Mon nez se repaissait de son odeur, ma langue tour à tour narguait, titillait, lâchait, reprenait .J'aspirais son clitoris maintenant turgescent . Je passais une main sous ses fesses pour la plaquer encore plus fort contre moi .
Je buvais sa sève à la source même, je buvais son plaisir . J'étais tout aussi excitée qu'elle, je sentais mon sexe s'ouvrir tout seul et je mouillais autant que si j'avais été caressée moi même . La tête me tournait, ivre que j'étais de ce sexe offert à ma bouche .Je sentais Mélanie se tendre . Ses mains se crispèrent sur moi . ...
... Son corps se tendait tel un arc et sa jouissance arriva dans un cri long et puissant . Je continuais de la caresser, je sentais les contractions de son vagin autour de ma langue, appuyant ma tête contre elle, la serrant de ma main pour ses soubresauts ne me décollent pas d'elle .
Petit à petit elle se calma, je ralentis mes caresses . Je me fis tendresse, je me fis amour . Elle sursautait encore à chaque fois que ma langue passait sur son bouton, électrisé par sa jouissance . Elle ôta ses mains de ma tête, me pris le visage et me força à remonter vers elle . Elle me regardait, me souriait . Elle m'embrassa fougueusement, cette fois, je lui rendis son baiser .
Je m'allongeais contre elle . Elle frémissait encore, elle avait la chair de poule et j'en ris en lui passant une main sur son ventre . Le feu dansait toujours . Le feu chantait toujours près de nous . Le Marquis nous regardait en souriant . Doucement le vin faisait son œuvre .
Nous nous endormîmes dans les bras l'une de l'autre, aux pieds du Marquis qui n'avait rien dit, qui n'avait rien fait . Je sentais qu'on déposait sur nos corps enlacés une couverture . Je remerciais dans un demi sommeil, embrassais Mélanie dans le cou et m'endormis pour de bon, là, au creux d'elle ...
(A suivre ...)