La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°950)
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... étreignant, nous regardant comme pour nous redécouvrir, nos langues se mêlèrent dans des baisers de tendresse. Je ne sais pas laquelle des deux s'est endormie la première . Ce fut la cuisinière qui nous réveilla pour descendre dîner .
- déjà ! nous exclamèrent nous en même temps .
Elle nous donna des vêtements choisis par le Marquis, ainsi qu'une paire d'escarpin .
- c'est tout ? demanda Mélanie en regardant ce qu'elle nous avait apporté . Je regardais aussi le vêtement en question et me rendis compte qu'en fait de vêtement, c'était juste une tunique . Une tunique, certes dans un magnifique tissus chamarré, mais une tunique tout de même .
- Monsieur le Marquis veut que vous portiez ça ! c'est tout !
Nous enfilâmes donc les tuniques, elles nous arrivaient à peine plus bas que les fesses, étaient fendues sur les cotés, avaient un décolleté qui descendait jusqu'au nombril . Un lien doré servait de ceinture . Plus offertes que nous dans ce vêtement, il n'y avait pas .
- aller, aller, nous pressait Marie, enfilez vos chaussures et suivez moi .
Nous arrivions dans la grande salle en même temps que le Marquis . Il nous regarda, nous demanda de nous tourner, de nous baisser . Ce que nous fîmes, sachant bien que nous fesses étaient ainsi exposées, découvertes par la position .
- bien, bien, parfait ! A table lança-t-il d'un air joyeux .
Le repas fut le bien venu , cela faisait du bien au corps et au cœur, Walter nous servit plus que de raison d'un des ...
... meilleurs vins du château et au fur et à mesure qu'avançait le repas nous rigolions de plus en plus . Le Marquis lançait des plaisanteries qui nous faisaient partir dans des éclats de rires sûrement exagérés . La tête commençait à me tourner, j'avais chaud aux oreilles .
Le Marquis soudain nous ordonna de nous lever et d'aller l'attendre au salon . Je me levais avec milles précautions, j'avais l'impression que mes jambes étaient toutes molles . Walter m'aida et m'offrit son bras pour me lever et me conduisit devant la cheminée du salon . Il me laissa glisser sur le tapis . Je levais les yeux vers lui :
- restes là , me dit-il, je reviens .
En effet il revint avec une Mélanie dans le même état que moi qui souriait encore de la dernière blague et du dernier verre . Elle me vit sur le tapis et Walter la fit s’assoir, elle aussi, à mes côtés .Nous nous regardâmes et pouffâmes de nous voir là . Monsieur le Marquis s'assit dans le fauteuil le plus proche de nous et attendit. Le vin aidant, je me sentais très bien, les sens exacerbés, les buches dans la cheminé, crépitaient, les lumières douces de la pièce offraient une ambiance velouté, raffinée . Nous étions là toutes les deux assises aux pieds du Marquis, lui même assis dans son fauteuil . Walter arriva enfin avec les cigares et le digestif qu'il tendit à son maitre . Le Marquis sirotait, silencieux, le nectar . Il tirait de temps à autre sur son cigare et j'en regardais la fumé s'enrouler et monter vers le plafond en volutes ...