Troisième mi-temps
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
gymnastiqu,
voiture,
pénétratio,
prememois,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... retenir !
— Vous retenir de quoi ?
— Hum… de faire ce qu’un homme peut faire à une femme presque nue !
— Vous me trouvez désirable, Monsieur ?
— Élodie, à quel jeu joues-tu ? Qu’attends-tu de moi ?
— Heu… C’était votre dernier match avec nous, vous allez nous quitter et je n’ai pas envie que vous partiez… Je voudrais au moins, avant votre retour chez vous, que vous m’embrassiez comme à la fin d’un beau film. Pendant six mois, c’était un beau film avec vous. Je souhaiterais garder le goût de vos lèvres sur les miennes pendant longtemps…
— Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Moi, ton prof, t’embrasser ? En plus, je te le répète, tu es quasiment nue…
— Mais c’est plus romantique ainsi !
— Tu as une bien étrange conception du romantisme, Élodie.
— Mais, dans un gymnase, je ne peux pas être vêtue d’une longue robe de mousseline blanche transparente que le vent fait flotter au gré de ses rafales… Alors, ce baiser, vous me le donnez ?
— Bon, juste un, et ça restera entre nous…
ooooOOOOoooo
— Non, ne me lâchez pas, je veux encore sentir votre souffle sur mon cou, la peau de votre visage dans le creux de mon cou, votre torse puissant qui écrase mes seins, votre odeur si troublante. Vous sentez bon !
— Mais nous avions dit juste un baiser, un seul…
— Mais, à la fin d’un film, après un long baiser, le héros étreint dans ses bras l’héroïne.
— Tu es incroyable et dangereuse, tu sais !
— J’aime vos mains sur mes hanches, vos doigts qui s’accrochent à ma peau ...
... et me font frissonner…
— Arrête, Élodie, je t’en prie, sinon, je ne vais plus pouvoir me contrôler !
— Mais vous êtes dur, là ! Vous avez envie de moi ?
— Arrête ! Ne me touche pas… Non ! Laisse l’élastique de mon jogging !
— Hum, elle est dure, elle est douce, elle est belle…
— Petite garce, tu l’auras voulu… Tu vas voir ce que tu vas voir… Allez, courbe-toi contre ce banc, je vais te montrer de quel bois je me chauffe.
— Oh, oui, Monsieur, vous êtes dur comme ce bois, et ça me réchauffe en dedans.
— Mais non, nous ne pouvons pas ainsi, sans être protégés ! Je n’ai rien pour ça.
— Attendez, j’ai un préservatif, là, dans mon sac… Tenez, le voilà.
ooooOOOOoooo
— Bon, rhabille-toi maintenant, tu m’as fait faire ce que je ne voulais pas…
— Mais c’était si bon, Monsieur… Vous n’avez pas aimé ?
— Heu, si, mais ça restera entre nous, promis ?
— Juré, mais à une condition…
— Quoi ? Une condition ? Laquelle ?
— J’aimerais que vous me raccompagniez chez moi, il n’y a très peu de bus à cette heure, et les racailles risquent de m’embêter. Ce n’est pas loin, une dizaine de minutes en voiture.
— Et tes parents ? Que vont-ils dire s’ils me voient te déposer chez toi ?
— Oh, vous ne risquez rien, ils dînent chez des amis, et rentreront fort tard.
— Bon, ça va, je te dépose… Sors, et attends-moi devant l’entrée, je dois éteindre les lumières. Et fais attention à ce qu’on ne nous voie pas ensemble.
ooooOOOOoooo
— Comme c’est étrange, tu n’as pas boité pour marcher ...