1. Troisième mi-temps


    Datte: 01/06/2019, Catégories: fh, hplusag, profélève, gymnastiqu, voiture, pénétratio, prememois, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    — Mais que fais-tu, Élodie, si tard dans les vestiaires ?
    — Heu, j’avais perdu la clé de mon placard, Monsieur… Finalement, je l’ai retrouvée, elle était au fond de mon sac ! En plus, je crains de m’être fait une élongation à la cuisse, j’ai mal !
    — Tu as de la chance que je t’aie entendue, j’allais éteindre les lumières et t’enfermer dans les vestiaires. Les autres filles sont parties il y a longtemps. Dépêche-toi, je dois fermer le gymnase !
    — Je ne peux partir sans m’être douchée. Laissez-moi cinq minutes…
    — D’accord, mais juste cinq minutes alors ! Je démonte le filet, range les ballons et je ferme.
    — Merci, Monsieur Perez…
    
    ooooOOOOoooo
    
    — Comment, tu es encore en petite tenue !
    — Il fallait que je me lave les cheveux, j’ai transpiré pendant notre match de volley, et en plus j’ai du mal à marcher, je ressens une vive douleur dans le haut de la cuisse. Mais vous devez être content, on a gagné, pour votre dernier match ici en tant qu’entraîneur ! À son retour de maternité, mardi, Madame Theillard va être fière de notre classement et de la manière dont vous l’avez remplacée !
    — Allez, habille-toi, tu ne vas pas rester à refaire le match en culotte et soutien-gorge comme ça !
    — Vous n’aimez pas mes dessous, Monsieur ? Ils sont pourtant jolis, avec leurs petites roses brodées en dentelles !
    — Heu, heu… si, très jolis. Mais imagine ce que pourraient penser les gens si on nous surprenait, moi, le prof intérimaire devant toi, sa jeune élève en petite tenue à cette ...
    ... heure avancée de la soirée !
    — Oh, de toute façon, personne ne viendra si tard, et c’est la dernière fois que vous êtes ici ; vous ne voulez pas regarder si c’est grave, ma blessure, Monsieur, juste une minute ? Ça me lance, j’ai du mal à poser le pied par terre.
    — Heu, assieds-toi, et soulève un peu ta jambe…
    — Oh, zut… Mon soutien-gorge ! Ces pressions sur le devant, elles s’ouvrent toute seules ! Elles sautent tout le temps.
    — … Tu ne penses pas plutôt que tu as choisi un modèle un peu trop petit pour toi ?
    — Oh, non, ce sont des bonnets C. Ne faites pas comme madame Theillard, qui me dit souvent que j’ai trop de poitrine pour faire une bonne volleyeuse !
    — Heu, je n’ai pas dit ça ; referme donc ton soutien-gorge.
    — C’est là, à l’intérieur de la cuisse… Non, plus haut…
    — Je ne sens rien, tu as vraiment mal ?
    — Vous avez les mains douces, Monsieur…
    — Replie ta jambe plus haut.
    — Oh, mon soutien-gorge a à nouveau sauté ! Tant pis, je l’enlève, ça ne vous gêne pas ?
    — … Heu…
    — Tant pis, je l’enlève. Comment trouvez-vous mes seins, Monsieur ? Vraiment trop gros ?
    — Écoute, Élodie, tu ne peux pas rester comme ça, presque nue, devant moi ! Je suis un homme, tu es presque une femme ! Couvre-toi !
    — Et pourquoi,presque, Monsieur ?
    — Presque… hum… parce que… parce que tu es mon élève, et qu’il est vingt heures trente, et que nous sommes dans les vestiaires d’un gymnase ; parce que, je te le répète, je suis un homme, et que si tu continues, je ne vais plus pouvoir me ...
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