1. Rêve ou réalité ? - Episode II


    Datte: 01/06/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, grossexe, grosseins, facial, double, fsodo, hsodo, uro, aventure, fantastiqu, couple+h, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... évènements. Je suis avec deux êtres particulièrement permissifs, peut-être est-ce une autre conséquence de la pollution de leur île natale ? Quoiqu’il en soit, il remonte beaucoup de sentiments inhérents à leur vie de famille. Ils sont attirés l’un par l’autre depuis tout petit, mais refoulaient ses sentiments de peur d’être traités de monstres. Ils parleront de leurs parents adoptifs et de leur vie en général une bonne partie de la nuit. Je les laisse tranquille.
    
    Le lendemain un temps splendide nous réveille, je me tourne pour voir ma belle lovée sur elle-même. Un bisou sur le front et je pars préparer le petit-déjeuner nu comme un ver. Un coup d’œil dans la chambre de l’autre mâle pour m’apercevoir qu’il dort dans une position similaire.
    
    Je m’active en cuisine pour préparer un brunch, vu l’heure avancée ce sera plus apprécié. J’ai presque terminé de tout mettre sur la table à l’extérieur lorsque mon épouse vient me voir la tête encore dans la brume. Elle a passé en vitesse un de mes teeshirts, le pauvre est tellement tendu au niveau de la poitrine qu’il ne cache pas son sexe épilé définitivement. Je passe une main sur les lèvres sèches. Elle rechigne à ce que je poursuive, prétextant une envie d’aller aux toilettes.
    
    Je décide de la taquiner et de la suivre pour vérifier qu’elle ne ment pas sur l’origine de son refus. Son visage s’éclaire de lubricité lorsqu’elle s’assoit sur la cuvette et écarte ses cuisses pour que je mate son jet doré. Je bande à tout rompre en ...
    ... voyant le jet sortir de ses chairs et les gouttes en périphérie venir couler sur sa peau. Eau savonneuse et tampons nettoyeurs viennent faire leur office avant que le séchoir ne se mette en route. Julie se lève avant qu’il ne s’éteigne.
    
    — Le pauvre n’arrivera pas à m’assécher, dit-elle avec un sourire cannibale.
    
    Elle se saisit de mon bâton et m’emmène dehors. Elle s’appuie contre le tronc de l’arbre trônant au milieu de la terrasse et passe sa jambe gauche autour de mes hanches. Cette position debout est un délice, j’entre dans les lèvres ouvertes et je regarde son visage délicieux grimacer de plaisir. D’une main je me tiens à l’arbre et de l’autre je palpe cette poitrine que j’aime tant, je roule entre mes doigts les tétons surdimensionnés. Mes cuisses impriment le mouvement de piston incessant. Je suis heureux que les haies inextricables et la végétation dense nous cachent de la vue des voisins. Par contre, pour les sons je ne réponds de rien.
    
    — Vous êtes bien matinaux ! lance un Olivier jovial.
    
    Il picore quelques mets en nous regardant, le gourdin au garde-à-vous.
    
    — Ne l’épuise pas trop, j’aimerais moi aussi profiter de sa vigueur.
    
    Lui aussi aime l’amour au réveil à ce que je vois. Ma femme ondule son bassin de manière dangereuse, je ne peux éviter la sortie de mon sexe. Aussitôt fait, elle me saisit les cheveux pour que je m’agenouille devant sa conque baveuse. Je fellationne son clitoris tout en pénétrant ses fourreaux de concert. La coquine jouit à son ...
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