1. Rêve ou réalité ? - Episode II


    Datte: 01/06/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, grossexe, grosseins, facial, double, fsodo, hsodo, uro, aventure, fantastiqu, couple+h, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... malgache dans une gargote non loin du quartier des pêcheurs. Nous regardons le paysage où les infos sur les différents écrans souples. Personne ne parle, chacun le voudrait, il y a tellement de choses à dire, mais aucun de nous n’a le courage d’affronter notre vérité.
    
    Je repense au motivateur, à ma première et dernière journée chez LUBRIREV, à la fuite, la vie à Napier, l’intervention des forces de l’ordre et pour finir par notre trio. Que de chemin parcouru, si j’ai eu un doute sur la véracité de mon vécu cette nuit, je ne l’ai plus. Pendant qu’ils dormaient j’ai piraté le site de LUBRIREV pour regarder où en était leur technologie. Ils ne sont pas capable à l’heure actuelle de matérialiser des lieux ou des personnages pour les insérer dans la mémoire. Des ingénieurs y travaillent mais c’est un projet à très long terme qu’ils ne sont pas certains de voir aboutir. Donc impossible de motiver mes fantasmes dans ce lieu, ni aux pays des All Blacks. Chez la concurrence même chose, rien à l’horizon d’au moins deux décennies d’études. Pour info, il n’y a pas trop d’avancées au sujet des enregistrements des séances en caisson.
    
    — Et maintenant ? finit par demander le plus jeune.
    — Nous allons chez nous, dis-je.
    
    J’ai voulu être concis pour ne pas avoir à palabrer, nous aurons le temps de nous expliquer, nous devons nous intégrer à notre nouvel univers. Un taxi brinquebalant, mais électrique et climatisé, nous emmène dans la maison achetée grâce à nos magouilles ...
    ... électroniques. Celle-ci se trouve dans un quartier calme de la capitale, elle est petite, mais coquette. Tout est en place et propre, la personne s’occupant de la propriété a fait son travail. Elle a même rempli réfrigérateur et placards des denrées demandées par un message envoyé de notre premier bateau.
    
    Farniente au programme pour ces premières heures. Julie et moi sommes enlacés, Olivier nous sourit en allant se prendre une glace. Nous sommes heureux, pas fâchés par notre nuit torride, au contraire nous en parlons sans animosité.
    
    Durant le repas du soir, pris dehors en regardant le ciel étoilé, Olivier me dit le plus grand bien de ma bouche et de la vigueur de ma masculinité. Je suis un peu surpris par son propos, mais entre dans son jeu et vante son extraordinaire baobab. Il rigole puis devient plus grave en se confiant de la gêne qu’il éprouve à être ainsi outillé. Sa sœur le taquine, mais finit par lui dire que nous ferons tout pour qu’il puisse avoir autant de plaisir que nous en avons.
    
    — J’appréhende, mais je souhaite que tu viennes en moi.
    — Et je vais l’aider à s’entraîner, dit la blonde hilare.
    — Vous êtes adorables !
    — Et, bien sûr, je serais moi-même disposée à te recevoir.
    — Merci Julie.
    — Partout, ajoute-t-elle d’une voix presque inaudible.
    
    Je sais que je suis dans la vie réelle, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’une chose cloche, tout va trop vite. Je me contente d’entrer dans leur jeu, en même temps c’est facile car je suis ravi de la tournure des ...
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