1. Une chienne docile


    Datte: 02/03/2018, Catégories: f, ff, fplusag, sexshop, fsoumise, fdomine, noculotte, fgode, fsoumisaf, Auteur: Skya69, Source: Revebebe

    ... obéissante qui dépend entièrement de sa maîtresse ! Tu as déjà vu une chienne s’habiller seule ?
    — …
    — Ça suffit maintenant, j’en ai marre de devoir tout t’expliquer ! Tes menottes sont ouvertes, mets-toi debout que je puisse t’habiller.
    — …
    — Tu as perdu ta langue ? Bof, tu peux bouder, ça m’est égal, ça te passera ! Voilà, lève la jambe que je te mette ta jupe. Ne bouge pas, je remonte la fermeture éclair. Donne-moi ton bras, voilà, une manche, et la deuxième, les petites sandales, c’est bon, tu es ravissante habillée comme ça, ma chérie !
    
    Après un petit bisou sur la joue, un sourire et une petite caresse sur la main pour lui remonter le moral, nous sommes passées à la salle de bain où ma petite chienne a eu droit à un moment de tendresse pour se remettre de ses émotions (elle n’avait pas dit un mot depuis un quart d’heure). Je lui ai doucement et délicatement brossé les cheveux (légèrement bouclés), maquillé légèrement les yeux, encore des petits mots de réconfort et quelques caresses dans le cou, puis sur un ton enjoué :
    
    — Allez ma puce, on y va, on a des courses à faire ! Tu vas avoir droit à des cadeaux !
    
    En sortant, malgré le temps estival j’ai bien remarqué que le petit vent faisait frissonner Charlotte, en particulier sur les bras et le haut des cuisses. Nous avons marché relativement longtemps (largement un quart d’heure) et j’imaginais sa chatte bien dodue s’ouvrir doucement comme une fleur pour laisser passer l’air frais entre ses lèvres ...
    ... intimes…
    
    Nous avons échangé des banalités pendant le trajet, et une ou deux fois je lui ai parlé de ce mystérieux « cadeau qui allait lui faire si plaisir ». Je lui ai aussi rappelé qu’elle devait désormais systématiquement, en toutes circonstances sauf contrordre de ma part, se comporter comme si elle était ma fille dès lors qu’on était en public, et quel que soit le lieu, ou les personnes rencontrées.
    
    J’avais prévenu Fabienne, une amie gérante d’un sex-shop en centre-ville, que je passerais la voir dans la matinée (sans lui en dire plus). Fabienne est une très belle femme de mon âge, la même taille que moi, mais tout le contraire physiquement : blonde, pulpeuse, et une poitrine très généreuse. Elle a les cheveux très longs qu’elle attache souvent en natte dans le dos, sans oublier de très grands yeux bleus, doux et pleins de tendresse.
    
    J’ai vécu avec elle ma première relation sérieuse l’été de mes seize ans, mais la vie nous a séparées l’hiver suivant. Tout en restant amies, on s’est progressivement perdues de vue. Pendant plus de quinze ans, on n’a fait que se croiser chez des amis communs sans avoir l’occasion de se revoir vraiment et l’année dernière j’avais appris par hasard qu’elle tenait ce sex-shop.
    
    Je lui avais déjà rendu visite à sa boutique deux ou trois fois, comme on renoue les liens avec n’importe quel ancien camarade de classe, sans lui parler de Charlotte. La discussion était restée très neutre (« qu’est devenu untel ? » « Dans quel quartier habites-tu ? C’est ...
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