1. Une chienne docile


    Datte: 02/03/2018, Catégories: f, ff, fplusag, sexshop, fsoumise, fdomine, noculotte, fgode, fsoumisaf, Auteur: Skya69, Source: Revebebe

    Je comprends vos commentaires concernant l’épisode précédent. C’était stupide de ma part de prétendre quoi que ce soit ou de polémiquer sur le « vécu ». J’ai écrit ce texte pour vous, la seule chose qui compte est que vous preniez plaisir à le lire.Résumé de l’épisode précédent : Après avoir emménagé chez moi, Charlotte accepte de ne pas être « simplement » éduquée, mais dressée comme une chienne. Pour vaincre sa pudeur, je l’ai d’abord obligée à se masturber devant moi, puis je lui ai expliqué qu’elle ne serait plus autorisée à porter de sous-vêtements, quelles que soient les circonstances. Je lui ai aussi constitué une garde-robe parfaitement indécente…
    
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    Le lendemain matin, j’ai longuement traîné au lit pour lui laisser le temps de bien réfléchir à sa nouvelle condition de femme de compagnie, soumise et docile, attachée et menottée, son intimité totalement exhibée…
    
    Elle ne pouvait pas me voir mais sa porte était restée ouverte. Et depuis mon lit, en me tordant un peu le cou, je voyais la peau si douce de ses cuisses et de son ventre, offerte et vulnérable…
    
    Ses mouvements et quelques bruits indiquaient qu’elle était réveillée depuis au moins 9 heures du matin, mais j’ai pris un malin plaisir à rêvasser pendant plus d’une heure, imaginant les scénarios les plus fous qui me permettraient d’humilier et de soumettre Charlotte…
    
    Mes divagations m’ont fait réaliser quelque chose que je ne m’étais jamais formulé ...
    ... explicitement. Humilier Charlotte sans aucune retenue, la ridiculiser, afficher en public mon mépris pour cette petite dinde, la traiter comme une chienne ou un vulgaire objet : oui ! tout cela me plaisait (et ça me plaît toujours) et j’avais envie de le faire avant tout parce que cela m’excitait. Mais j’avais envie de le faire aussi parce que je savais qu’elle aimait ça.
    
    Je ne vais pas prétendre être totalement altruiste, et je voulais lui faire subir ces tourments pour mon propre plaisir avant tout. Mais c’était aussi son plaisir que je recherchais…
    
    Au fur et à mesure de mes rêveries, je me suis d’abord rendue compte que j’avais envie de lui faire plaisir. De « faire plaisir » à « plaire » il n’y a qu’un pas et j’ai progressivement réalisé que, par toutes mes manœuvres, je cherchais mon propre plaisir, mais aussi à lui plaire, et tout simplement à la séduire… à la rendre encore plus accroc à moi qu’elle ne l’était déjà.
    
    Je ne sais pas si j’avais une forme de blocage psychologique, ou si je me mentais à moi-même, mais au bout d’interminables tergiversations, nue sur mon lit en continuant à me caresser distraitement l’intérieur des cuisses, j’ai fini par me rendre à l’évidence…
    
    Oui, j’étais bel et bien amoureuse de Charlotte… Sur le coup, j’en ai presque eu honte, et j’ai eu envie de lui faire payer… Lui faire payer quoi ?
    
    Mes propres prétentions de femme bourgeoise qui refuse de s’avouer qu’elle est amoureuse d’une étudiante pas vraiment jolie et un peu vulgaire ? Une ...
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