1. Une chienne docile


    Datte: 02/03/2018, Catégories: f, ff, fplusag, sexshop, fsoumise, fdomine, noculotte, fgode, fsoumisaf, Auteur: Skya69, Source: Revebebe

    ... répètes mot pour mot après moi « Je suis trempée comme une chienne en chaleur, ma chatte en ruisselle ».
    
    Manifestement incapable de répéter la phrase humiliante et obscène que j’avais prononcée, Charlotte a commencé à se masturber en sanglotant.
    
    — Laissez-moi jouir, je vous en supplie… Maintenant… Pas devant ce monsieur.
    
    Après avoir délicatement retiré sa main pour l’empêcher de se donner du plaisir, je l’ai forcée à se retourner pour faire face à M. Babinet qui se dirigeait déjà vers l’arrière-boutique pour assister au « spectacle ».
    
    — Certainement pas ! Tu n’es qu’une petite chienne obscène. C’est Monsieur Babinet qui en décidera.
    
    M. Babinet avait une petite soixantaine, un look de cadre supérieur très élégant et manifestement aisé. Son costume trois pièces et sa cravate étaient impeccablement ajustés. J’ai réalisé, en sortant de la boutique après l’exhibition de Charlotte, qu’il n’avait pas ouvert la bouche une seule fois et n’avait pas laissé transparaître le moindre signe d’excitation ou de trouble pendant tout le spectacle.
    
    Charlotte portait toujours son corsage très léger et sa jupette assortie, mais le maquillage avait disparu, noyé dans les sanglots. D’une démarche mal assurée, sans bien réaliser ce qui lui arrivait, Charlotte est entrée dans la salle que Fabienne appelle son « théâtre », pendant que M. Babinet prenait place dans un confortable siège type « fauteuil de cinéma ».
    
    Fabienne connaissait manifestement bien son client. Nous avons ...
    ... aussi pris place dans des fauteuils faisant face à la scène, à côté de M. Babinet. Elle m’a indiqué dans un murmure qu’il resterait silencieux et que c’est elle qui guiderait Charlotte afin de satisfaire les fantasmes de son unique spectateur. Je n’ai d’ailleurs pas dit un mot non plus, laissant Fabienne prendre les choses en main d’un ton autoritaire et assuré :
    
    — Marche sur la scène Charlotte. De long en large. Nous te regardons.
    — …
    — NON ! ARRÊTE ÇA IMMÉDIATEMENT ! Je ne t’ai pas demandé de toucher à ton sexe ni de te déshabiller, juste de marcher !
    — …
    — C’est bien. Maintenant imagine que tu es une pute… En fait… non, ma chérie, tu n’as rien à imaginer… TU ES UNE PUTE. Une catin qui n’a pas baisé depuis plusieurs jours et qui a hâte de voir son premier client de la journée.
    — …
    — Tortille du cul, cambre-toi, mordille tes lèvres, chauffe tous les passants…
    — …
    — C’est bien… Tu repenses à ton dernier client, la semaine dernière. Il t’a fait jouir comme rarement… Il t’a humiliée en marchandant ton tarif au prétexte que tu as pris beaucoup de poids depuis la dernière fois. Il t’a humiliée en se retenant de jouir pour « ne pas décevoir sa femme ». Il t’a humiliée en te demandant de « te frotter comme une petite chienne » pour « te finir sur sa cuisse », après t’avoir bien excitée. Il t’a humiliée et tu as aimé ça… Tu as joui tellement fort…
    — Hhhnnn… Gnnnn…
    — Tu en oublies que tu es dans la rue, tu es perdue dans tes pensées… Tu ne caches rien aux passants qui t’ont ...
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