Un mariage extraordinaire - Histoires de Sexe

Un mariage extraordinaire

... hauteur de l’aine et je sentis alors ses doigts glisser à l’intérieur de la cuisse, touchant ainsi mon string. Il se pencha alors une nouvelle fois vers moi et me dit que j’étais trempée ; effectivement, cela faisait déjà un bon moment que je sentais mon sexe couler dans ma culotte. Ma main était restée cette fois sur ma cuisse. Il commença à me caresser de bas en haut la fente à travers le string ; je me mordis les lèvres pour ne pas gémir. Puis, contre toute attente, il prit alors ma main et la posa directement sur son pantalon à la hauteur de son sexe. Je voulus la retirer, mais il me retint. Je sentais son sexe dur. Il bandait vraiment très fort. Ses caresses toujours plus insistantes me faisaient complètement perdre la tête.

Sa main continuait son massage sur ma fente qui coulait maintenant sans discontinuer ; je respirais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il tenait toujours ma main sur son sexe à travers son pantalon et me faisait faire des allers-retours sur sa tige bien raide. Puis, la soulevant légèrement, il ouvrit sa braguette et me reprit la main pour la mettre à l’intérieur de son pantalon. J’étais anesthésiée par ses gestes, par le plaisir qu’il était en train de me donner, et je me laissai entraîner. Je sentis son sexe dur seulement protégé cette fois, par un boxer, me semblait-il. Je n’osais bouger. Bastien se pencha alors à mon oreille et me dit : « Tu ne peux me laisser dans cet état d’excitation ; caresse-moi, je t’en prie. »

Et je ne ...

... peux encore m’expliquer, mais je commençai à effectuer des va-et-vient sur sa tige raide. En remontant, je sentis que son sexe dépassait de son boxer, et pour la première fois je sentis sa chair dans mes doigts. Je massai alors doucement le frein de son gland. De son côté, Bastien passa deux doigts sous mon string, et pour la première fois il parcourut ma fente sans son tissu de protection. Cela envoya dans tout mon corps une grande onde de bien-être ; je me retins pour ne pas jouir immédiatement. C’est à ce moment que tu es revenu à la table. Je suis sincèrement désolée, mon chéri ; j’ai complètement perdu la tête, j’ai trop honte de moi.

— Écoute, mon amour, nous avons très souvent imaginé un ou plusieurs partenaires dans nos petits jeux sexuels. Alors peut-être est-ce l’occasion aujourd’hui de passer du fantasme à la réalité. Je t’avoue que cela me fait peur, mais je t’avoue également que cela m’excite terriblement.
— Ah bon ? Cela t’exciterait ? Mais, mais là, après ce que je viens de t’avouer, cela t’excite ?
— Oui, mon amour : j’avoue que je suis jaloux, mais en même temps je bande comme un fou ; vérifie par toi-même.

Tu tends alors ta main sous la table en direction de mon entrejambe et poses ta main sur mon pantalon, et là tu sens la raideur de mon sexe.

— Oh !

Je me penche alors vers toi et je te dis :

— Tu veux bien me prodiguer le même traitement que tu prodiguais à Bastien ?
— … ?

J’ouvre alors discrètement ma braguette et te fais signe de passer ...