Un mariage extraordinaire - Histoires de Sexe

Un mariage extraordinaire

... main caressante sur mes fesses. Je ne dis rien et suis venue te rejoindre. Voilà.

Stupéfait, je te regarde et je me surprends à voir que tu es honteuse, mais que dans tes yeux brille aussi une grande excitation. Je me penche alors vers toi et demande directement si cela t’a excitée. Tu baisses la tête, n’osant pas me regarder, et dans un soupir tu m’avoues que oui. Je te demande alors à quel point et, pour être plus précis, si tu as mouillé ta culotte. Tu me réponds par l’affirmative en hochant la tête. Je te traite de coquine et, voyant mon sourire, tu te détends et souris également. Tu me demandes alors si cette situation m’excite aussi, et je t’avoue que oui…

Bastien et Fanny reviennent à notre table ; nous continuons le repas tout en discutant, rigolant et sirotant encore quelques bons verres de vin. Je vois après un certain temps que tu sembles t’agiter sur ta chaise sans comprendre vraiment pourquoi. Je suis alors happé par la famille à d’autres tables. En me levant, je regarde dans ta direction et je vois Bastien se pencher vers toi ; il me semble vraiment collé à toi…

Après un long moment, je reviens prendre ma place à tes côtés. Je te découvre les joues rosies, les yeux brillants, tous les symptômes lorsque tu es particulièrement excitée. Je te demande ce qui se passe. Tu te penches alors vers moi, tu as du mal à parler.

— C’est… c’est Bastien, il… il a…

Tu reprends ta respiration et tu me racontes alors en détail ce qui s’est passé pendant mon absence ...

... :

— En fait, avant que tu t’absentes, nous discutions tous ensemble, et au bout d’un moment j’ai senti une main se poser sur ma cuisse droite. Comme tu étais à ma gauche, je compris tout de suite que ce ne pouvait être ta main. Je repoussai donc la main de Bastien, mais celui-ci réitéra sa manœuvre, une seconde fois et une troisième fois. Comme nous discutions tous, je n’osais rien dire et repoussai une troisième fois sa main en la retenant le long de nos deux chaises. Et sans faire vraiment attention, je gardai sa main dans la mienne pendant un petit moment. Après quelques petites minutes, il remit sa main sur ma cuisse tout en gardant ma main dans la sienne, et je ne sais pas pourquoi, mais cette fois je la laissai posée à cet endroit. C’est à ce moment que tu es parti avec tes cousins un peu plus loin.

Bastien rapprocha alors discrètement sa chaise et se pencha sur moi pour me dire qu’il était particulièrement troublé et que je devais l’être également. Et en effet, il me faut bien avouer que je l’étais terriblement. Il ne bougea pas pendant quelques minutes ; je sentais sa main chaude et douce sur ma cuisse, ma main toujours posée sur la sienne. Puis, tout doucement, en tout petits cercles, il commença à caresser ma peau nue. Ma main, tel un automate, suivait son mouvement. Et sa main commença à remonter le long de ma cuisse. Il prenait le temps de caresser chaque centimètre carré de ma peau. Je n’avais plus la force de lui résister. Il remonta encore et arriva à la ...