1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. L’orage (10/13)


    Datte: 30/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... cravache, je vais ramasser une râclée à cause de ma peur de l’orage.
    
    Il faut que je lui sois plus que soumise pour ne pas me sauver en courant, même nue. Il me suffirait de dire au village quel tyran il est.
    
    • Chiche !
    
    • Pourquoi me dites vous, chiche, Maître Albert ?
    
    • Qu’as-tu de tatoué sur ton cou ?
    
    • A13, Albert 13, je suis votre treizième soumise.
    
    • Tu crois que la façon dont tu as regardé le chemin menant au village, je ne le connais pas ?
    
    Toutes depuis A1, même si ça a été la soumise parfaite, se sont posées la question si elles n’allaient pas partir en courant.
    
    Elle l'a fait, ce sont mes amis qui me l’ont remontée.
    
    Ils ont trop besoin de moi, pour mon don, d’ailleurs tu verras cela demain matin. Tu as trois secondes pour disparaitre et revenir avec la cravache.
    
    Je suis brisée.
    
    Derrière comme devant la grange, l’orage fait rage, je sais que la cravache va me déchirer.
    
    Je cherche à ouvrir la porte latérale de la camionnette, qui semble bloquée.
    
    Des grêlons comme des billes tombent venant me cingler le dos, je dois aller jusqu’à la porte arrière pour entrer et être provisoirement à l’abri.
    
    Je suis transie, j’ai presque envie de courir me cacher dans ma cage.
    
    Mais je sais que le temps presse quand je prends mon engin de torture en main.
    
    Il me faut rejoindre Maître Albert le plus vite possible, je l’ai déjà mis en colère. Malgré la grêle quand je ressors, je ferme consciencieusement la porte, c’est l’enfer, ça zèbre de ...
    ... partout.
    
    • Pose la cravache sur la table et donne-moi tes mains.
    
    Qu’a-t-il encore inventé ?
    
    Je m’attendais à me mettre à quatre pattes comme dans la camionnette, mais il a une corde avec un nœud coulant attaché au palan que j’ai vu depuis mon arrivée et que je lui croyais utile dans certains travaux.
    
    Les lapinous, avant d’être exécutés, avaient la tête en bas, moi c’est la tête en haut que je m’apprête à finir ma vie, il est impossible de survivre à une telle épreuve.
    
    Mes bras vont se déchirer, je sens mes jointures à la hauteur des épaules se tendre dès qu’il tire sur la corde qu’il a prise en main.
    
    Au début, mes pieds au sol me permettent de supporter la douleur, mais très vite, je me trouve décollée du sol.
    
    Il est possible qu’il mette une bassine sous moi pour récolter mon sang pour faire sa sauce.
    
    Va-t-il m’égorger ou m’enlever un œil, j’ai ces pensées quand le premier coup de cravache atteint mes seins, ils bougent, denses et lourds comme ils sont, au fil des coups qu’ils reçoivent.
    
    Je hurle et je me mets à me tortiller, j’essaye d’atteindre son bras avec mes jambes, il esquive.
    
    • Je vois qu’il faut que j’emploie les grands moyens.
    
    Je suis fatiguée de ruer, je reste pendue attendant la suite.
    
    Il prend un lien sur la table, me ceinture les jambes d’un bras puissant et m’attache les pieds.
    
    Je lui balançais une jambe après l’autre écartant ma chatte au passage, comme je suis lisse, mes lèvres sont luisantes.
    
    Là je suis prise.
    
    Tout ...