COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. L’orage (10/13)
Datte: 30/05/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens de franchir une étape, après ce que j’ai subi avec délice dans la camionnette, au marché, ayant fait une erreur avec Jacques le frère de Maître Albert, mon mentor. Sans oublier que j’ai carrément refusé de suivre Pierre que je peux considérer comme mon ex.
De toute façon, il semble m’avoir remplacé, par une salope qu’il a baisée sur un sentier de randonnée au bord d’un petit lac alors qu’il disait me chercher.
Alors, j'ai décidé de rester chez mon nouveau Maître.
Ça fait deux jours que je prends mon bain à 2 degrés tous les matins.
Ce qui me plait avec Maître Albert, c’est qu’il est fidèle à sa parole, même si la température de l’eau semble être une vengeance à mon exigence.
Je continue à nourrir mes lapinous, ces petites bêtes mangent beaucoup et je dois couper de plus en plus de pissenlits.
Fidèle à son habitude, et à ma situation de chienne, bonne à baiser, Maître Albert vient régulièrement m’honorer et ma chatte adore se faire défoncer, depuis la première fois, mon fourreau est à l'exacte dimension du morceau qu’il me propose.
Que dire de mon anus, il commence à se distendre de plus en plus, mais je n’en ai cure, s’il veut me baiser, il me baise et en plus je dis merci !
Je suis au travail ce vendredi, j’ai déjà coupé la moitié de mon panier quand le ciel noir qui menaçait ce transforme en orage.
Depuis des semaines que la ...
... pluie nous a abandonnée, ça va être bon pour le champ, de nouveaux pissenlits vont pousser.
J’ai une peur bleue des orages, surtout qu’un éclair zèbre et vient s’abattre sur la forêt voisine d’où sortent les renards que nous sommes obligés de chasser pour éviter qu’ils viennent bouffer nos poules et nos lapinous.
N’écoutant que mon courage, quand les premières gouttes viennent singler mon dos, je me relève et rentre en courant vers la grange.
Mon Maître est là, la casquette toujours vissée sur sa tête.
Il va falloir que je lui en achète une autre au marché mardi, à son regard, je vois qu’il est courroucé, qu’ai-je fait de mal ?
Je n’aime pas ce regard, il avait le même lorsqu’il m’a offert à son frère dans la camionnette.
• Ou vas-tu ?
• Me mettre à l’abri, il tombe des cordes, j’ai peur des éclairs.
• Et les lapins ?
• Quoi les lapinous ?
• Les lapins ça mange, ça grossit, ça fait des petits, il est impossible de donner les mâles à leur mère comme pour nous les hommes, c’est pour cela qu’ils finissent au marché.
Les femelles rencontrent des mâles, j’en rachète à Louis pour croiser l’espèce. Quand elles ont eu plusieurs portées, direction le marché comme les mâles, mais pour arriver à avoir de belles bêtes il faut qu’elles mangent.
Si tu crois que ton demi-panier va leur suffire, tu te mets le doigt dans l’œil. L’orage je m’en fous, je m’en contrefou, de plus tu es revenue en te levant, va derrière dans le tube et rapporte la cravache.
La ...