Colocation - La suite
Datte: 30/05/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
copains,
boitenuit,
amour,
noculotte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
amourdura,
consoler,
couple+f,
Inceste / Tabou
Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe
... tellement rêvé de sa chatte, ces jours derniers, que c’est par là que je la pénétrai. Quel bonheur ! C’était comme si je faisais l’amour pour la première fois. Elle était toute chaude et humide. Je pointai mon gland à l’entrée de sa vulve et poussai de manière régulière jusqu’à me trouver entièrement en elle. Lorsque je fus à fond, Julie poussa un « Oooh » de satisfaction. Je profitai de l’instant présent et restai quelques instants sans bouger. C’est elle qui bougea la première. Elle s’écarta de moi, pour mieux me replanter en elle d’un coup sec. Petit à petit, ses mouvements devinrent plus amples et elle revenait plus durement, comme si elle cherchait à s’empaler. À chaque fois, son cul venait claquer plus durement sur mon bas-ventre. Mes couilles cognaient contre sa vulve, ce qui me permit de sentir sa main qui jouait avec son clito.
Elle jouit la première, en criant très fort son orgasme. C’était trop pour moi. Je jouis, moi aussi, comme jamais auparavant. J’eus le sentiment de perdre conscience un court instant, comme un trou noir. Plus rien n’existait. Plus rien ne comptait. Mon plaisir avait été tellement fort, qu’une fraction de seconde, je ne sentis plus rien. J’avais l’impression de flotter dans l’air. L’expression « atteindre le septième ciel » prenait tout son sens. Il me semblait que j’étais monté jusqu’au huitième, neuvième, dixième ciel. Je sentais mon sperme, une infime partie de moi, se répandre dans son ventre. J’avais l’impression d’être avec tous mes ...
... spermatozoïdes en elle.
Peu à peu, je repris conscience : tout d’abord de Julie, en qui j’étais toujours planté, puis du lit sur lequel nous venions de faire l’amour, de la chambre etc…
Julie semblait dans le même état que moi. Nous étions tous deux en sueur. Il nous fallut plusieurs minutes avant d’être capable de parler.
— Oh lala… parvins-je à articuler, c’était… whoua… Je veux bien que tu me punisses plus souvent…
— Moi aussi, dit-elle, je ne me rappelais pas que cela pouvait être aussi fort. Quand je suis entrée tout à l’heure, si tu m’avais sauté dessus, je n’aurais pas pu résister. Je n’ai pas arrêté de mouiller de la journée. J’étais tellement excitée de te revoir… Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse d’être rentrée.
— Moi aussi, notre petite vie à deux m’a manqué.
— Ben… justement, puisqu’on en parle, m’annonça-t-elle, à propos de notre « vie à deux » et de demain pour le réveillon, il faut que je te dise que j’ai invité ma copine Virginie.
— T’as pas fait ça ? Moi qui rêvais d’un petit réveillon tout les deux en amoureux. Qu’est-ce qui t’a pris ?
— Eh bien, pendant les vacances, elle m’a téléphoné et elle m’a appris que, tu sais, Mathieu, son mec, il l’a larguée.
— Et alors ?
— Ben, elle n’avait pas le moral, alors je lui ai proposé de réveillonner avec nous.
— Super, je sens que ça va être une super-soirée …
Elle se leva et remit sa jupe et son pull, sans rien dessous.
— Tu n’as rien oublié ? dis-je, en lui désignant ses sous-vêtements ...