1. Colocation - La suite


    Datte: 30/05/2019, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, copains, boitenuit, amour, noculotte, facial, Oral 69, pénétratio, amourdura, consoler, couple+f, Inceste / Tabou Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe

    ... final commençait. Il restait moins d’une heure. Vingt-trois heures trente, l’envie de téléphoner me démangeait déjà.
    
    Vingt-trois heures quarante-cinq et mes parents n’étaient toujours pas couchés. Ce n’est pas possible, ils en faisaient exprès. Minuit dix, j’étais enfin seul dans mon lit, avec le téléphone à côté de moi.
    
    Elle décrocha à la première sonnerie.
    
    — Enfin, me dit-elle, j’ai bien cru que tu n’appellerais plus.
    — Mes parents ne voulaient pas aller se coucher, lui répondis-je, mais ça y est, tout le monde est au lit.
    — Toi aussi ?
    — Oui
    — Ça me fait drôle d’être seule dans mon lit, tu n’es plus là pour me réchauffer les pieds.
    — Si j’étais avec toi, ce ne serait pas tes pieds que je réchaufferais…
    — Ne commence pas, dit-elle. Je n’ai pas arrêté de penser à toi toute la journée et là, en plus d’entendre ta voix, ça me fait… de l’effet…
    — Tu es excitée ?
    — Oh oui ! beaucoup, me répondit-elle.
    — Si j’étais avec toi, je sais ce que je te ferai. Je commencerais par t’embrasser dans le cou comme tu aimes, tout en te caressant les seins.
    — Humm …
    — Comme je ne suis pas avec toi, j’espère que tu te caresses les seins pour moi.
    — Tu veux, demanda-t-elle. Et toi, tu te branles ?
    — Oui. Pince-toi les mamelons. C’est bon.
    — Oh oui ! continue à me dire ce que tu me ferais.
    — Ensuite, je te lècherais tes pointes toutes dures, et parfois je les mordillerais. En même temps, je glisserais ma main entre tes jambes et te caresserais l’intérieur des cuisses, ...
    ... jusqu’à ce que tu me supplies de te branler. Toi, tu ondulerais de plaisir. Tes gémissements m’exciteraient. Ton corps serait incontrôlable. C’est seulement à ce moment que j’introduirais un doigt dans ta chatte.
    — Oh oui ! ne t’arrête pas, j’ai ma main entre mes cuisses et je me fais tout ce que tu me dis. C’est trop bon.
    — Ma langue délaisserait tes seins pour glisser sur ton corps. Elle descendrait jusqu’à ton clito, que je lècherais avec passion. Je me serais tourné pour que toi aussi tu puisses jouer avec mon sexe. Tu le prendrais dans ta bouche…
    — Oh oui ! je l’imagine, humm. Il est dur. C’est bon, je sens que ça vient.
    — Alors nous jouirions ainsi, chacun dans la bouche de l’autre, tu veux ?
    — Oh oui ! je … le … veux … ça y est, je jouis !
    
    Le fait de l’entendre jouir au téléphone, déclencha mon propre plaisir. Mon sperme se répandit sur mon ventre et dans mon nombril.
    
    — Moi aussi j’ai joui, lui dis-je, j’en ai partout.
    — Humm… Dommage que je ne sois pas là, je t’aurais fait ta toilette, je t’aurais léché tout ça. Je ne sais pas comment je vais tenir toutes les vacances sans ma dose de sexe.
    — Pourquoi, c’est une drogue pour toi ?
    — Bien sûr, depuis que tu m’y as fait goûter, je ne peux plus m’en passer.
    
    Ainsi, pendant presque toute la durée de nos vacances, chaque soir, grâce au téléphone, nous nous retrouvions et assouvissions nos pulsions sexuelles.
    
    Retourner vivre chez ses parents, c’est bien, on y retrouve ses racines, ses habitudes. Les premiers ...
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