1. Colocation - La suite


    Datte: 30/05/2019, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, copains, boitenuit, amour, noculotte, facial, Oral 69, pénétratio, amourdura, consoler, couple+f, Inceste / Tabou Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe

    ... avons fait les boutiques ensemble. Elle me disait ce qui m’allait et ce qui ne m’allait pas. Elle m’a appris à m’habiller sexy. Ensuite je suis allée chez le coiffeur et tu avais raison, les cheveux courts ça me va mieux, mais les lunettes ça n’allait plus. Alors j’ai pris rendez-vous chez l’ophtalmo pour des lentilles. J’ai commencé à me trouver belle. Et puis… et puis… voilà quoi !
    — Et tu ne m’en as rien dit.
    — Ben non, je voulais te faire la surprise. Mais si tu avais vu ta tête, tout à l’heure… Je ne regrette pas. Eh ! Arrête de regarder sous ma jupe !
    
    Malgré cette dernière remarque, elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse m’allonger en travers du lit, la tête entre ses jambes. Ma position, en contrebas, me donnait l’impression que ses jambes étaient interminables. Je caressai presque machinalement ses mollets. Elle se laissait faire et semblait prendre du plaisir à être ainsi admirée. Mes mains montaient, à chaque mouvement, un peu plus haut. Sa peau était douce et chaude. J’étais hypnotisé par ce petit bout de tissu rouge qui me privait de la vue de son sexe. Lorsque mes mains atteignirent ses cuisses, un frisson traversa son corps.
    
    — Arrête ! me dit-elle, sans faire un geste pour m’empêcher de continuer.
    
    Sa bouche me disait d’arrêter, mais son corps réclamait mes caresses. Mes mains montaient toujours en direction de ses fesses. Je prenais mon temps et localisais mes caresses sur l’intérieur de ses cuisses. J’essayais de juste lui effleurer ...
    ... cette partie si sensible qui se situe tout en haut, entre les cuisses, à quelques millimètres de son sexe. Elle se tortillait dans tous les sens, m’indiquant qu’elle prenait du plaisir.
    
    — Arrête, tu me rends folle. Je n’avais pas prévu nos retrouvailles comme cela.
    — Ah bon, et qu’est-ce que tu avais prévu ?
    — De t’exciter à mort, pour te punir de m’avoir excitée chaque soir au téléphone … répondit-elle, en se tortillant encore plus.
    — Mais je suis excité à mort ! dis-je, en lui frôlant le clitoris au travers de son string d’une main, alors que l’autre pétrissait ses fesses.
    — Pas assez … Toutes nos conversations au téléphone m’excitaient tellement, que non seulement je me caressais jusqu’à la jouissance, avec toi au bout du fil, mais aussi dans la nuit, le matin avant de me lever, sous la douche, parfois dans l’après-midi en repensant à ce que tu m’avais dit. Je m’étais promis de te le faire payer…
    
    Le fait de savoir qu’elle s’était aussi souvent masturbée en pensant à moi rendit mon érection encore plus douloureuse. Je décidai d’abandonner quelques instants ses fesses pour ouvrir mon pantalon d’une main et libérer mon sexe de la pression auquel il était soumis. Une fois mon sexe à l’air libre, je décidai qu’il était temps maintenant de la débarrasser, elle aussi, de son string. Je lui déposai de très légers baisers du mollet jusqu’aux cuisses. Son string était littéralement inondé. Elle ne résista que pour la forme lorsque je le lui enlevai.
    
    — Je voulais te faire ...
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