Colocation - La suite
Datte: 30/05/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
copains,
boitenuit,
amour,
noculotte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
amourdura,
consoler,
couple+f,
Inceste / Tabou
Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe
... Mathieu et le mien se croisaient, il me semblait qu’il me lançait des éclairs. Le plan de Julie semblait marcher. Nous faisions tellement bien semblant que Virginie me laissait de moins en moins indifférent. Mon sexe était à l’étroit dans mon pantalon. Virginie ne pouvait l’ignorer. Chaque fois qu’elle bougeait, cela m’excitait encore plus. Ma main avait naturellement trouvé sa place sur sa cuisse et je devais lutter à chaque seconde contre l’envie de la monter entre ses cuisses. La série des slows me sauva.
— C’est les slows, dit Julie, qu’est-ce que vous attendez pour aller danser. Je suis sûre qu’il est prêt à craquer. Depuis un moment, il ne te quitte plus des yeux.
Virginie se leva et, me tenant par la main, m’attira sur la piste de danse. Nos corps se plaquèrent l’un contre l’autre. Elle ne pouvait ignorer mon érection. Elle portait un parfum envoûtant, la proximité de nos corps, sa chaleur, la douceur de la peau de son cou, les quelques verres que nous avions bus et la quasi-obscurité me donnaient une furieuse envie de l’embrasser. La danse langoureuse me donnait l’impression que Virginie frottait son sexe contre le mien.
Comme il était presque minuit, la musique s’arrêta. Le décompte des dernières secondes commença : cinq, quatre, trois, deux, une. Bonne année ! annonça le DJ. Nos regards se croisèrent. Nos bouches semblaient s’attirer comme deux aimants. Nous nous sommes alors embrassés passionnément. Nos bouches semblaient soudées l’une à l’autre. Nos ...
... langues s’unirent. Le temps semblait suspendu. Un nouveau slow commença. Nous avions l’impression d’être seuls. Nous étions aussi excités l’un que l’autre, par tant de désirs contenus pendant la soirée. Ma main glissa le long de sa colonne vertébrale et je lui caressai le cul.
Soudain, je sentis une main se poser sur mon épaule et je reçus un coup violent. Pour craquer… le Mathieu, il avait craqué. Il venait de me frapper. Je n’eus même pas le temps de réagir que deux videurs nous séparaient et nous éloignaient des autres danseurs. Ils nous conduisirent dans les vestiaires de la discothèque.
Virginie s’engueula avec Mathieu. Elle le traita de malade. Pour limiter l’esclandre, les videurs nous conseillèrent de rentrer chez nous, pendant qu’ils gardaient Mathieu pour que nous puissions partir tranquille. Virginie, folle de colère après son ex, alla chercher Julie qui n’avait rien vu de la scène et nous sommes rentrés à l’appart.
Le trajet du retour fut des plus silencieux, chacun de nous perdu dans ses pensées. Julie s’en voulait d’avoir eu cette idée, Virginie était furieuse contre la terre entière et moi, perdu dans la confusion de mes sentiments. Ma fierté, tout d’abord qui en avait pris un coup bien plus douloureux que celui que Mathieu m’avait donné. Je ne m’étais même pas défendu. Ensuite, le désir que j’avais ressenti vis-à-vis de Virginie. L’année commençait plutôt mal.
À notre retour à l’appartement, Julie nous proposa de boire un verre pour nous remettre de nos ...