1. L'abnégation de ma mère à la maison de retraite (5)


    Datte: 29/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... miracle si elle arrivait à en enfourner la moitié dans sa cavité buccale. Heureusement que la queue qui a pris des proportions colossales ne soit pas d’une dureté à toute épreuve. Avec bravoure, elle lui passe une capote qui a l’air ridicule sur un tel manche.
    
    Le géant black gardant son calme, la prend dans ses bras et doucement l’allonge au sol sur le dos tout en respirant fort au-dessus d’elle, pelotant ses bourrelets, suçant ses tétons généreux, les mordant même, puis vient lui lécher le minou pour mieux la préparer à son « convoi exceptionnel ! »
    
    Ses grosses mains saisissent enfin les hanches imposantes de maman qui le supplie d’y aller doucement. Quand son gros champignon heurte la fente déjà ouverte, elle ressent un désir fou qui repousse ses appréhensions. Docilement, elle se cambre, car son excitation est devenue plus forte que sa peur qu’il la défonce.
    
    Le bout du gros gland se plaque sur son orifice vaginal. Le vieux noir sait très bien comment se positionner pour la pénétrer par petits à-coups, essayant de la ménager. Mais elle ne peut s’empêcher de hurler à la mort en croyant sentir son vagin se déchirer, lui rappelant les douleurs de son accouchement.
    
    Elle a l’impression d’être dépucelée à nouveau. Le vieux y revient à plusieurs fois, plongeant et replongeant dans son fourreau qui s’assouplit doucement sous les assauts de son manche équin.
    
    Son fluide vaginal est si puissant que le gros tuyau noir glisse lentement sans trop de résistance dans la ...
    ... fente béante et humide. Mais il ne peut faire pénétrer que la moitié de sa matraque souple malgré la profondeur de la grotte de ma mère.
    
    Elle est résignée et heureuse, il s’accroche à ses hanches et la laboure avec une infinie lenteur.
    
    Le jeune black a rebandé et se branle en le voyant faire, puis s’approche et lui présente sa verge pour qu’elle le suce pendant qu’il joue avec ses seins et ses tétons durcis par le plaisir. Il regarde l’autre aller et venir, plus doucement, mais sans s’arrêter pendant de longues minutes avant de se retirer pour gicler sur ma mère. Mais même ça est disproportionné chez ce géant qui marmonne en se vidant d’un flot ininterrompu de foutre très liquide. Ce n’est pas un homme, mais un cheval qui se vide sur elle tellement elle est recouverte d’une quantité de semence qu’aucun humain ne peut concevoir.
    
    A peine la chose faite, la bite pendante entre les jambes, il se rhabille et quitte la case.
    
    Le jeune est si chaud qu’il retire sa bite de la bouche de ma mère. Elle grogne de dépit en remuant son cul. Elle s’allonge sur le ventre pendant qu’il caresse son cul et son dos. Alors, elle se met à quatre pattes comme une chienne en chaleur.
    
    — Viens, baise-moi fort !
    
    Il n’en peut plus et se met face à son cul après avoir passé un préservatif, car il a retenu la leçon, crache dessus et la pénètre. Elle a le sentiment qu’il va lui déchirer le fion. Sa bite est trop grosse pour elle, ça va lui faire trop mal.
    
    Il l’encule vigoureusement. La ...