1. L'abnégation de ma mère à la maison de retraite (5)


    Datte: 29/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Maman en brousse.
    
    Elle presse ses couilles, les embrasse, les suce avant de les prendre dans sa bouche tout en flattant de ses caresses la bite vraiment incroyable. Elle recommence à le sucer tout en jouant d’une main avec ses couilles. Il a posé ses deux mains dans les cheveux de ma mère et marmonne entre ses dents :
    
    — T’es vraiment bonne pour une blanche !
    
    Suite :
    
    La salive coule le long du manche le rendant brillant, les lèvres autour de sa grosse queue.
    
    Il l’a attrapée par les cheveux pour baiser sa bouche jusqu’à la garde comme une brute assoiffée de baise. Étant donné les dimensions XXL, elle ne peut tout l’avaler. L’excitation du noir est à son comble. Ma mère s’applique à le pomper du mieux possible, il ne peut plus se retenir de ce traitement ininterrompu et un terrible orgasme le submerge. Il se déverse dans sa bouche avec des râles de satisfaction et des gémissements d’extase...
    
    L’énorme bite noire enfoncée au tréfonds de sa gorge crache sa semence en longs jets tièdes.
    
    — Ah ! Je... je ne peux plus me retenir... je... je jouis... !
    
    Sans plus aucune pudeur, ma mère déglutit et lui présente sa bouche ouverte pour bien lui prouver qu’elle a apprécié sa contribution spermique.
    
    Le troisième homme assez âgé repousse les deux autres, c’est un colosse de presque deux mètres et dans les 120 kilos. Il sort son sexe et là, ma mère manque de peu de tourner de l’œil. Ce black est membré comme un cheval. Le mythe du « Noir à grosse queue » est explosé ...
    ... avec lui.
    
    — Je me suis mis à l’aise... en attendant mon tour, grosse salope de blanche ! Mais putain, moi j’aime les grosses pouffes !
    
    Il s’avance vers elle dont les yeux ne quittent pas le balancement de la verge, le prépuce légèrement rétracté sur son gland flétri à moitié découvert tranchant sur le noir de sa queue d’âne excite et horrifie au possible ma mère.
    
    Il avale le contenu d’une fiole, sûrement du marabout du village. Elle voit d’un coup la verge du noir grandir très vite, malgré son âge. Il a une bite équine ce vieux... La potion faisant son effet, le boudin noir se transforme en une trique dans un sursaut. Il s’approche de ma mère jusqu’à ce que le monstrueux gland touche ses seins. A ce contact, elle frissonne de peur.
    
    Il appuie plus franchement sa verge qu’il doit tenir à deux mains sur la peau de ma mère en ricanant :
    
    — Et pour moi, tu as la bonne taille dans tes capotes ?
    
    Elle regarde cet énorme mandrin avec hésitation, tirant la langue pour goûter son gland avant de le parcourir lentement du méat urinal jusqu’à son frein, mordillant par à-coups son gland en le faisant à peine entrer dans sa bouche. Il a l’air d’apprécier et elle renouvelle l’opération plusieurs fois, lui tirant des gémissements de plaisir.
    
    La langue de ma mère parcourt l’énorme phallus pour l’imprégner de salive. Mais même si elle voudrait en avaler le plus possible, vu la grosseur et la longueur, elle sait très bien devant la tâche quasi désespérée que ce serait déjà un ...
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