1. Stella


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Anal Hardcore, Mature, Auteur: JohnDuff490, Source: xHamster

    ... épaule.
    
    Elle ouvrit les yeux. Elle avait envie d’être furieuse, mais ce contact avait été doux, sensuel. Elle s’en voulut immédiatement. Son mari était un vrai con, mais elle lui avait toujours été fidèle. Quel pervers avait-il donc profité de sa pause salutaire ?
    
    Il prit place à sa droite sans lui en demander la permission. Il était grand, bien bâti, les cheveux courts et grisonnants. Son visage régulier présentait une certaine sérénité presque rassurante malgré l’incongruité de la situation. Sa veste bleue nuit était entrouverte sur une chemise sans cravate dévoilant une toison peu fournie. Le jean de marque, légèrement délavé conférait à son allure un petit côté décontracté. Elle le trouva beau. Pas une beauté clinquante des top models masculins montrant leurs muscles dans les publicités pour sous-vêtements, non plutôt celle naturelle d’une quarantaine avenante.
    
    - Vous m’avez touchée !
    
    - Juste effleurée. Votre peau était douce et d’une subtile fragrance. Je n’ai pas pu résister.
    
    - Et vous touchez souvent des inconnues ?
    
    - Seulement quand elles sont attirantes.
    
    Sa voix était douce. J’étais à la fois effrayée par ce qu’il disait, mais je ne pouvais m’empêcher de ressentir un petit frisson d’excitation.
    
    L’homme se rapprocha sur la banquette jusqu’au frôlement. J’esquissai un mouvement de recul. Il posa sa main droite sur mon genou pour me retenir.
    
    Je ne bougeais plus, pétrifiée.
    
    Sa main remontait doucement en caressant mes cuisses. J’avais envie ...
    ... de lui hurler d’arrêter, mais ma bouche ne laissa échapper d’un soupir. J’avais évité le gémissement de peu. Je sentis la chaleur m’envahir tandis que mon sexe s’humidifier. Ses doigts étaient à quelques centimètres de ma vulve, puis ils s’éloignèrent le long de l’autre cuisse.
    
    Cette fois-ci, le soupir fut de déception. J’avais furieusement envie que ses caresses continuent, mais ma tête me hurlait qu’il ne fallait pas, que c’était mal.
    
    Son autre maison se posa sur mon épaule. La chemise avait légèrement glissée, dévoilant mon cou et le sillon dessiné par mes seins. Je maudissais mes tétons pour leur manque de discrétion. Mon désir n’était qu’un mystère éventé.
    
    - Je vous en prie…
    
    - Ne m’en priez pas, je vais répondre à tous vos désirs… et au-delà.
    
    Sa main s’aventura sur l’oblong de ma poitrine puis s’immisça sous la chemise. Sa dextre continuait ses caresses sur mes jambes, avec des détours sur l’orée de mes fesses charnues.
    
    Je voulus le repousser, mais il s’empara de ma bouche. Sa langue joua avec la mienne, faisant sauter mes dernières réticences.
    
    Sa main gauche, experte, déboutonna ma chemise, libérant mes seins et leurs aréoles tendues par l’excitation. Il les titilla avant que sa bouche les gobe et se mette à les lécher avec délicatesse. Le son qui s’échappa de mon corps ne faisait plus illusion, c’était un gémissement.
    
    Enhardie, l’autre main s’introduit avec délicatesse dans l’étuve chaude et accueillante de mon sexe. Mon corps ne m’appartenait ...