1. Stella


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Anal Hardcore, Mature, Auteur: JohnDuff490, Source: xHamster

    - Mais quel con !
    
    Stella fulminait tout en marchant d’un pas saccadé sur le trottoir luisant d’une pluie assassine. Presque vingt ans de mariage et il fallait qu’il vienne lui casser les pieds pour une histoire de trace sur un verre à pieds. Son obsession pour une propreté immaculée devenait étouffante. Stella se prit à rêver de saleté, de tâches, de souillure comme autant de délivrance de la maniaquerie obsédante de son homme. Dire qu’elle avait voulu lui faire plaisir en s’acquittant de la vaisselle au petit matin et en lui apportant le petit déjeuner au lit. De fait, elle n’avait endossé qu’une jupe droite assez courte et une chemise blanche dont l’opacité laissait à désirer. Heureusement, elle avait eu la présence d’esprit de prendre une veste pour se couvrir un peu.
    
    Ses seins généreux oscillaient de gauche à droite et de bas en haut dans un mouvement peu discret. Se rendant compte que le regard de plusieurs passants s’était attardé sur son passage, elle rougit subitement. Elle n’aimait pas trop laisser libre sa poitrine opulente. La cinquantaine engagée, elle restait une femme attirante. Ses jambes filiformes, légèrement musclées offraient un spectacle attrayant. Le décolleté qu’elle aimait ouvert mettait souvent en valeur ses attributs mammaires, mais la pesanteur n’est pas tendre avec les seins de ce calibre et Stella n’aimait pas le spectacle de sa poitrine plus aussi ferme qu’autrefois.
    
    Elle se souvint qu’elle n’avait pas pris la peine d’enfiler une ...
    ... culotte quand le vent frisquet du matin s’engouffra sous sa mini-jupe. La sensation n’était pas désagréable, mais elle se sentit affreusement nue, comme offerte au regard concupiscent de tous les détraqués de la Terre.
    
    Un café vint à la rencontre de son allure décidée. Elle s’y engouffra sans trop réfléchir. Il lui fallait son thé du matin vu que son connard de mari l’en avait empêchée. Elle ne connaissait pas trop l’endroit. Elle était plutôt casanière. Les bistrots, c’était pour les gamines ou les femmes en quête d’aventures. Le comptoir occupait l’entrée tandis que l’établissement continuait par une salle toute en longueur. La lumière tamisée proposait une ambiance plutôt cosy qui l’apaisa. Elle commanda son thé avant de s’installer dans une banquette en tissu d’un rouge vif. Des haut-parleurs disséminés dans les angles distillaient une musique vaguement jazzy.
    
    Elle était seule et cela convenait parfaitement à son humeur maussade. Le serveur lui apporta sa boisson chaude qu’elle régla immédiatement sans laisser de pourboire. « Les hommes, tous des salauds, de toute façon... ».
    
    Elle se câla au fond du canapé, puis choisit de se défaire de sa veste. Ses tétons, durcis par le frottement de la chemise étaient turgescents. On les devinait nettement à travers la toile fine, mais elle n’en avait cure, elle était seule. Elle but une gorgée, puis se détendit en fermant les yeux, la tête appuyée contre l’assise. Quelle plaisir de se sentir libre !
    
    Une main effleura son ...
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