Tante Aline (5) - Histoires de Sexe

Tante Aline (5)

... pas.

— Tu lui as dit aussi aimer cela.

— Mais enfin Aline, tu ne vas pas l’encourager tout de même.

— Il s’encourage bien tout seul, regarde, tu lui provoques des réactions.

En effet, depuis quelques instants, je suis un peu à l’étroit, je baisse les yeux, je m’assois pour masquer l’effet visible ...

— Viens, on va vite finir tes confitures, toi, tu nous attends.

Plus perturbée qu’elle ne le montre, maman entre dans la cuisine suivie d’Aline que je soupçonne d’avoir des idées particulières en tête ...

Elle se colle directement à elle, lui dévore la bouche en lui triturant les fesses, maman tente de la repousser :

— Arrête, mon fils est là !

— Et alors, il est en âge de comprendre, d’ailleurs, je sais qu’il regarde.

En effet, je me suis glissé dans un coin de la pièce, je les vois toutes les deux, la robe d’Aline est presque entièrement ouverte, collée peau contre peau avec maman, elle s’écarte soudain ...

— Viens avec nous.

— Mais enfin Aline, dit ma mère.

— Tais-toi, tu en as envie autant que moi ...

Médusée par le ton de son amie, elle obéit, Aline la met totalement nue, la fait tourner sur elle-même, me regardant :

— Tu aimes ?

— Oh oui alors, j’adore.

Je m’approche, elle me saisit, je sens la réticence de maman, mais rapidement effacée par le baiser qu’Aline "m’oblige" à lui donner, collant nos lèvres, mélangeant nos langues ...

Aline nous caresse tous les deux en même temps, j’entends les glissements humides de la ...

... main d’Aline dans la chatte offerte trempée de mouille, mon sexe frémit sous l’attouchement délicat des doigts magiques de ma maîtresse, sa main saisit alors la mienne, me guidant directement dans le vagin géniteur. Elle me déshabille aussi, me caressant au passage, sachant mon appétit particulier.

Pendant ce temps, je profite de la bouche de ma mère qui me dévore, introduisant sa langue profondément, me mettant des frissons dans tout le corps. Aline reprend le contrôle, saisissant les bras de son amie, elle la plie ventre sur la table ...

— Lèche-la, me dit-elle.

Je ne me fais pas prier, m’agenouille, lui fais écarter les pieds, puis ouvrant les grosses fesses, je m’offre la visite de la raie, glissant ma langue dans le sillon moite et odorant, pour arriver sur le petit trou magique, je l’investis, donnant des coups de plus en plus appuyés, mouillant encore plus l’orifice que tout à coup l’envie me prend de pénétrer. Je me redresse, présente mon gland juste contre.

— Non, je ne veux pas.

— Tais-toi, c’est moi qui décide ! Mets-lui une fessée avant de la baiser !

Encouragé par la voix impérative qui a réussi à dompter ma mère, je lui claque avec un immense plaisir, me souvenant du passé, ses globes charnus et grassouillets qui ballottent en tous sens, rougissant peu à peu ... je la saisis, et d’un coup la pénètre avec une facilité qui me trouble un moment, elle se met à couiner, puis à gémir de plaisir, Aline la lâche et passe derrière moi, se positionne, me ...