Tante Aline (5) - Histoires de Sexe

Tante Aline (5)

... sujets ?

— J’aime les portraits, j’aime jouer avec les silhouettes, les ombres, les lumières, les visages, les corps nus ...

— C’est ce que tu choisiras, je suppose.

— Sans doute, si je trouve des modèles qui acceptent de poser gracieusement.

— En quoi cela consiste-t-il ?

— Je donne des consignes en fonction de la lumière, de la personne elle-même ou des personnes si je décide de former un groupe, je décide sur place. Heureusement je peux disposer d’une salle à l’école, mais je peux aussi faire chez les gens eux-mêmes ...

— C’est très intéressant tout ça, bon je fais chauffer l’huile, on mange dans 5 minutes.

Aline fait la tête, elle doit être un peu jalouse, ça me fait sourire.

— Tu trouves ça amusant que mon idiot de mari te pose toutes ces questions.

— Non, ce n’est pas amusant, c’est qu’il s’intéresse à ce que je fais ... ce qui me fait sourire, c’est de voir que tu es jalouse ...

— Je ne suis pas jalouse, je trouve qu’il t’accapare beaucoup.

— Tu auras ma compagnie tout l’après-midi.

— C’est vrai mon chéri, tu as raison, je te laisse, je vais mettre autre chose, sinon j’aurai cette odeur sur moi toute la journée ...

Au cours du repas, nous n’abordons aucun sujet brûlant, juste les potins du moment, puis elle va se changer, redescend vêtue simplement d’une robe légère boutonnée sur le devant, largement échancrée et dont le bouton du bas est laissé libre, si bien qu’à chaque pas, je peux apercevoir un bout de sa cuisse, nous ...

... partons, laissant au pauvre Guy, la vaisselle et le rangement ...

Nous sommes assez vite rendus, la maison n’est qu’à quelques rues de chez Aline. A notre arrivée, maman nous accueille d’un grand sourire et d’un gros baiser chacun ...

Nous passons à la cuisine, elle est occupée à confectionner des confitures, il y règne une forte chaleur et une odeur de fruits cuits un peu âcre ...

Maman s’est vêtue légèrement et le tissu est collé à elle par la transpiration, ses belles mamelles sont libres et ballottent en tous sens ... par contre, elle a gardé sa culotte qui lui entre dans la chair, ses fesses semblent coupées en deux et des bourrelets se dessinent ... Parfois, elle s’éponge en passant une serviette sur sa poitrine en passant par le haut, dont la fermeture éclair a glissé très bas.

— Venez, allons dehors, il fait trop chaud ici, de toute façon, ça doit encore mijoter quelques minutes ...

Nous la suivons, maman de dos ouvre entièrement son tablier pour s’aérer, ce qui nous donne un parfait contre-jour sur ses formes grassouillettes ...

— Ma chérie, tu nous donnes un super spectacle, j’adore ton corps et ... je ne suis pas la seule.

A ces mots, elle ferme rapidement les pans de son vêtement et se tourne vers nous :

— Désolée, j’avais trop chaud et toi garnement, tu aurais pu détourner les yeux.

— Ne le gronde pas, tu sais comme il aime te regarder et même plus, il m’a raconté ce qui s’est passé après mon départ ...

— Je lui ai dit que je ne le referais ...