Un client pas comme les autres
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
f,
fhh,
extracon,
cocus,
fépilée,
hotel,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
intermast,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
couple+h,
cocucont,
hbi,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... mouvement fluide ils se retrouvent allongés tous les deux. Je me redresse. Sandrine relève les cuisses et saisit ses genoux pour les maintenir écartés. Pascal a assez travaillé. Elle veut me voir à l’œuvre maintenant. Je me redresse et saisis son regard, lubrique, chaud. Je viens sur elle et la pénètre tout doucement.
Son cul est très haut, surélevé par Pascal qui n’a pas bougé. D’abord en appui sur mes bras, je lui bourre la chatte avec tendresse, en profitant pour la regarder, pour l’embrasser, pour prendre sa langue dans ma bouche. Mais je ne peux plus la toucher, ça me manque. Alors je me couche sur elle. Elle supporte le poids de mon corps mais mes mouvements ont ralenti. Je l’embrasse dans le cou en lui caressant les flancs. Je ne me préoccupe pas de devoir aussi frôler la peau de Pascal. Il m’a bien touché la queue, il peut bien supporter ma peau sur la sienne. J’embrasse Sandrine dans le cou, je la pourlèche, je la suce. Elle geint.
Elle tortille son cul plein d’une queue et compresse son vagin plein de la mienne.
— Oh oui ! Baisez-moi bien, salauds !
Ses cris décuplent nos ardeurs. Je croise le regard de Pascal en sortant du cou de ma chérie. Nous nous regardons un instant dans les yeux, heureux de partager ma femme. Pascal sourit, il a la bouche légèrement ouverte et se passe la langue sur les lèvres. Je continue de le regarder. Je viens lécher le cou de Sandrine tout près de sa langue à lui. Il tourne un peu la tête pour poser sa langue lui aussi sur ...
... la peau de Sandrine. Nos langues se touchent. Je lèche sans me préoccuper de ce qui est sous ma langue et me retrouve rapidement à lécher la joue de Pascal qui ne se dérobe pas. Aurais-je une autre occasion d’essayer quelque chose de nouveau ?
Je décide d’arrêter de tourner autour du pot. Je pose ma langue à l’angle des lèvres de Pascal qui a toujours la bouche ouverte et la langue dans le cou de Sandrine. Il tourne légèrement sa tête vers moi en signe d’approbation. Je l’embrasse franchement, comme on embrasse une femme, sauf qu’il pique, le con. Mais j’aime ça finalement. Ce que je ressens doit ressembler à ce que ressent ma femme quand je lui roule une pelle. La langue d’un mâle dans ma bouche, la mienne dans la sienne, tout ça me fait vite monter dans les tours et je ne me retiens plus, je me secoue dans la chatte de Sandrine et je bouffe la bouche de son amant. La pression dans ma queue est gigantesque, j’explose et hurlant, je jouis comme un porc. Redressé sur les bras je gicle, je souffle, je profite de cet instant intense. Merci, mon amour. Je suis vidé. Et plein aussi.
Sandrine se dégage, se recule, s’allonge sur le dos, écarte les cuisses, écarte les bras. Il l’a pour lui tout seul maintenant. Il la rejoint, s’allonge sur elle, la prend tout doucement, s’enfonce en elle. Elle a remonté ses jambes derrière le dos de Pascal et relevé ses fesses autant que possible. Elle le serre dans ses bras, le caresse. Ils ne baisent plus, ils font l’amour. Pascal l’embrasse, ...