1. Un client pas comme les autres


    Datte: 26/05/2019, Catégories: f, fhh, extracon, cocus, fépilée, hotel, fdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation intermast, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h, cocucont, hbi, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    Ma seconde épouse, Sandrine, aime faire l’amour. Elle n’est pas nymphomane, non. Une nymphomane ne prend plaisir à rien et cherche en permanence toujours plus. Sandrine aime son corps, aime se regarder, aime qu’on la regarde. Et avant tout elle aime le plaisir que son corps lui procure. Les mecs se vantent de leurs aventures et aiment à feindre ne même plus se rappeler combien de nanas ils ont sautées dans leur vie. Le plaisir qu’ils ont pris ? Ils n’en parlent que peu.
    
    Le plaisir de posséder, de faire céder, de foutre à poil et de sauter oui. C’est ça qui compte. Sandrine elle se souvient de chaque moment et en parle avec passion. Elle sait vous décrire avec précision ses émotions, ses joies et ses peines. Elle revit ses aventures devant vous, sans complexe, sans faux-semblant. Elle énumère les plaisirs qu’elle a pris et souvent elle sait d’où le plaisir venait. La taille du sexe, bien sûr, mais elle m’a raconté une soirée dingue avec un mec qui ne bandait même pas et pourtant elle avait pris un pied énorme. C’est parfois la tendresse, parfois la brutalité. Il arrive que des ébats brefs la comblent, mais aussi que des galipettes qui durent des heures soient dans le top de ses souvenirs. Bref elle vit l’instant en en tirant le maximum. Elle ne se moque jamais de ses ex et au contraire leur attribue des qualités qui vont bien au-delà, à ses yeux, de leurs simples performances.
    
    Le pouvoir qu’elle exerce sur ces hommes qui la veulent au bout de leur queue fait partie ...
    ... de ses plaisirs. Ceux-là, elle aime les posséder, les faire attendre, les frustrer puis les faire exploser. Elle les contrôle, elle les manipule. Ils croient la posséder mais c’est elle qui les possède, c’est elle qui joue.
    
    Et parfois c’est du tout cérébral, du tout dans la tête.
    
    Elle m’a raconté une soirée vieille d’une dizaine d’années où elle s’était retrouvée dans le salon de lecture d’un vieux bourgeois érudit. Il lui avait lu des textes érotiques du dix-huitième siècle. Il avait fait assoir Sandrine face à lui dans un fauteuil. Il lui avait demandé de vivre le texte pour lui, de se laisser aller. Elle lui avait fait confiance. Elle avait remonté sa robe, ôté sa culotte, écarté ses jambes, et s’était masturbée en l’écoutant. De temps en temps il la regardait, mais dans les yeux. Elle s’était branlé le clito, s’était introduit des doigts dans la chatte, s’était caressée sans retenue jusqu’à jouir. Son extase, me dit-elle, avait duré très longtemps, plusieurs minutes sans doute. Elle avait recommencé plusieurs fois. Le vieux avait terminé le bouquin et Sandrine en avait vécu chaque scène avec envie. La voix du vieux était ce sexe qu’elle sentait en elle.
    
    Depuis qu’elle a compris mon aspiration profonde au candaulisme, nous sommes parfaitement en phase. Les aventures passées qu’elle me raconte m’excitent terriblement. J’aurais voulu être là pendant la lecture, pendant chaque situation chaude qu’elle a vécue.
    
    Mais nous avons aussi nos propres histoires. Nous ne ...
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