L'étudiante en droit
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... qu’elle fait claquer et sa langue vient lécher sa lèvre supérieure. Pas de doute, c’est une invitation à la suivre …. Ce n’est pas ma station, mais prise d’un élan incontrôlable, je me lève, bouscule la grosse dame et me dirige aussi vers la sortie. Je me retrouve sur le quai juste à temps, les portes qui se referment en claquant ont failli me couper en deux.
Je jette un regard à droite, puis à gauche, puis à nouveau à droite à la recherche de mon étudiante dans la foule. Je la repère à son manteau rouge. Une tâche de couleur au milieu des vêtements gris ou noirs des autres personnes. Elle se dirige vers l’escalier au fond du quai.
Je la suis, elle porte des baskets et moi des escarpins à talons aiguilles, j’ai du mal à garder la distance. Elle se retourne comme pour vérifier que je suis bien là et commence l’ascension de l’escalier. Je suis quelques mètres derrière, avec une belle vue sur le haut de sa jupe qui découvre ses jolies cuisses. Elle est plus rapide que moi et me distance légèrement.
Arrivée en haut de l’escalier, elle tourne à droite vers la correspondance de la ligne 8. J’ai accéléré le pas, mes talons claquent sur le sol du couloir. Elle semble adapter sa cadence de pas au mien. Un autre escalier et elle prend le couloir, direction Créteil.
Elle accélère encore dans l’escalier qui descend vers le quai. La rame est là, je la perds de vue dans un virage.
Lorsque j’arrive sur le quai, j’ai juste le temps de monter dans le wagon avant que les ...
... portes ne se referment. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je perds la tête ! Et mon rendez-vous ? Bah on verra !!!
Je regarde à gauche, puis à droite. Mon asiatique n’est pas dans le wagon ! Il est presque vide, je ne peux pas la rater ! Je l‘ai perdue ! Et zut, je n’ai plus qu’à faire demi-tour et rattraper la ligne 5. Quelle gourde ! Laetitia et l’art de perdre son temps avec ses coups de tête irraisonnés. Bon après, il y avait bien une ouverture, elle s’est frotté le sexe contre ma main, elle ne s’est pas dégagée lorsque que je lui ai peloté les cuisses sous sa jupe, elle m’a invité à la suivre ne descendant. Et moi, je la perds ! Foutus talons, j’ai eu beau courir, je l’ai perdue. Elle a dû rester sur le quai à Bastille.
Je m’approche de la vitre de séparation avec l’autre wagon et je l’aperçois. Elle est là, dans le wagon suivant, derrière la vitre. Elle me regarde en souriant, elle se penche vers la vitre et ouvre la bouche me montrant sa langue s’agiter de haut en bas, mimant un cuni. Petite cochonne, tu m’excite à un point que tu ne peux pas savoir, bien à l’abri derrière ta vitre.
Elle s’écarte et va s’assoir sur le strapontin en face. Son wagon est quasiment vide aussi. Elle remonte sa jupe, écarte ses jambes. Sas collants noirs laissent voir une culotte blanche dessous. Maintenant elle se caresse l’entre-jambe effrontément.
Station Ledru-Rollin, je quitte mon wagon pour la rejoindre dans le sien. En entrant, j’ai juste le temps de l’apercevoir à ...