1. Un déménagement imprévu. (2)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: Clothilde092, Source: Xstory

    ... pourfend la rondelle à grandes ruades qui arrivent à me déstabiliser, m’obligeant à affermir ma prise sur ses hanches.
    
    — Oh oui ! Oui ! fous-moi tout salaud, baise mon cul ! Défonce-le ! Enfonce bien ta bite ! Fais plaisir à ta femme, à ta salope de femme ! Baise bien ta pute !
    
    Heureusement, le lit est solide, car nous formons un couple en folie, elle, donnant de grands mouvements de bassin en tous sens, moi, juchée sur son dos, dans un rodéo obscène, me tenant comme je peux les mains contre son ventre pour ne pas être désarçonnée, excitée comme rarement.
    
    Quand j’arrive à les atteindre, je lui pelote les seins, le minet, hmmm comme il est trempé, je vais me régaler tout à l’heure à le bouffer !
    
    Quand elle se calme, les grandes claques que je lui mets sur la chatte et les fesses la font partir de nouveau et plus d’une fois, il faut remettre le gode dans son cul devenu aussi glissant et béant que sa chatte.
    
    De temps en temps, j’en profite pour reprendre sa moule, mais elle l’en déloge presque aussitôt, pas de doute, elle préfère par derrière. Comme moi...
    
    Elle jouit enfin dans un long soupir. Nous sommes essouflées, je n’ai pas joui vraiment, mais cette séance valait le déplacement.
    
    Je déguste enfin son jus intime et elle apprécie mes coups de langue qui viennent aussi laper son anus salé de sueur.
    
    Le slip de latex m’a fait transpirer, la sensation est agréable, nouvelle. Quand elle me l’ôte, elle me renverse et pose sa chatte sur la mienne, mes ...
    ... cuisses bien écartées en frottant ses lèvres sur les miennes.
    
    C’est si bon, chaque frôlement de mon clito me rapproche de l’orgasme. Elle a adopté la même cadence infernale que tout à l’heure et nous jouissons face à face, chatte à chatte, mes jambes nouées aux siennes.
    
    Tout à l’heure, je la baisais comme un mec, maintenant c’est elle qui me baise. Et j’adore ça.
    
    Elle parle sans arrêt, une vraie poissarde. Je ne m’en plains pas, car elle m’énerve aussi, de sa voix rauque qui murmure à mon oreille des obscénités.
    
    — Ohhhh, ma gouine chérie, qu’est-ce que j’aimerais te pénétrer...
    
    — ...?
    
    — J’aimerais avoir un gros clito pour te le mettre dans la moule et dans le cul.
    
    — ...? (ça s’appelle pas une bite ?)
    
    — J’en ai vu sur des vidéos, rien que d’y penser, j’ai envie de te fourrer... Oh oui, le frotter sur ta vulve, le mouiller à ta crème...
    
    Cette femme est sans aucun doute la pire salope que j’ai rencontrée, et pourtant, j’en connais, mais des comme elle, jamais ! Je savoure ma chance autant que mon plaisir.
    
    Je crois avoir été à la hauteur, j’avoue qu’elle m’a fait passer mes limites.
    
    Elle est lovée contre moi, débordant de tendresse, nos caresses sont floues, aucune de nous n’a envie de reprendre, nous avons besoin de souffler.
    
    — Tu es satisfaite de ta petite femme ?
    
    — ...?
    
    — Tu sais, je pourrais avoir des hommes, plein, même, mais je préfère être à une femme... me dit-elle, se lovant contre moi.
    
    — Ca oui, tu aimes être bien pénétrée... et ...