1. Un déménagement imprévu. (2)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: Clothilde092, Source: Xstory

    J’apprécie ce joli tableau, mais, elle, fesses offertes, jambes largement écartées, son petit boudeur frémissant d’impatience, pensant peut-être que je ne sais lequel choisir, se relève et vient farfouiller dans le tiroir avec l’expression gourmande de la petite fille devant l’armoire à confitures !
    
    Ayant rapidement trouvé chaussure à son pied (enfin, pour le prendre !), elle me le tend pour que je l’enfile (et c’est bien ce qui va lui arriver !).
    
    C’est une culotte en latex noir, ultra-souple pas évidente à mettre qui moule bien le bas-ventre et les fesses. Il est muni d’un petit téton sur lequel se fixe un gode.
    
    Je sens ma compagne excitée de me voir trémousser toute nue pour le mettre et l’attire pour l’embrasser à pleine bouche. Elle en profite pour me fixer l’appendice, je le sens quand elle le clippe et en ai une bouffée d’excitation.
    
    — Tu as déjà utilisé un gode-ceinture ?
    
    — Pas souvent, pas des comme celui-ci... mais j’en ai vu dans des vidéos.
    
    — Il n’est pas très esthétique, mais avec, tu seras un vrai petit mec ! Mon petit mec !
    
    Et absolument pas gênée, elle reprend sa position obscène de levrette.
    
    Affalée sur son dos que j’embrasse, je lui caresse la fente d’une main et agace son bouton de l’autre. Ça la fait ronronner, je sens que l’on va bien jouer toutes les deux. Le sexe de latex frotte sa vulve ; mais rapidement, elle prend ma main et pousse deux doigts dans sa chatte.
    
    — Ça va me faire mouiller plus vite, mon chéri.
    
    Je ne relève ...
    ... pas, c’est amusant et une façon inattendue de me motiver.
    
    Elle a un OOOOHHHH de satisfaction et se cambre quand je la pénètre.
    
    Me redressant, doucement, je rentre progressivement mon membre, je devine sa chatte s’humidifier jusqu’à céder et s’ouvrir complètement. Les mains tenant bien ses hanches, je la besogne lentement et admire le gode qui rentre et sort avec des flocs-flocs, son cul qui s’anime, sa respiration qui commence à haleter, la mienne aussi, excitation mêlée de fatigue.
    
    C’est que je prends mon rôle au sérieux, j’ai envie de la faire jouir comme ça et les coups de reins me chauffent le minet, car le latex laisse passer l’élasticité de ses fesses qui m’agacent le clito.
    
    — Alors ma salope, tu es contente ? Je l‘enfile à fond, presque brutalement.
    
    — Oh oui, qu’est-ce que j’aime ta bite ! répond elle entre deux hoquets. Baise bien ta petite femme, dis, fais-moi voir comment c’est par ici ?
    
    Et elle empoigne le gode pour se le fourrer dans le cul. Le chemin est bien préparé et l’engin bien lubrifié de cramouille force son chemin sans trop de résistance.
    
    J’ai une nouvelle montée d’adrénaline lorsque le mandrin rentre en entier, après qu’elle l’ait enduit de sa salive avec sa main. Elle manifeste son plaisir d’un OOOOUUIII bruyant et donne des coups de cul comme une malade.
    
    J’ai beau connaître la sensation, c’est comme si je la découvrais, comme si c’était mon cul qui était profané. Là, pas de montée en puissance, elle se déchaîne immédiatement et se ...
«123»