1. Les Mousquetaires


    Datte: 24/05/2019, Catégories: ff, fhh, jeunes, inconnu, religion, jardin, douche, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, intermast, 69, fdanus, journal, Humour Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... Tire-toi de là !
    
    Ce petit brun a déjà posé sans façon une main sur mon sein droit, qu’il commence à vigoureusement pétrir. Il faudra qu’il apprenne à caresser avec un peu plus de douceur. La douleur, c’est pour plus tard, quand on se connaît plus intimement.
    
    — Vous n’allez pas vous battre pour tripoter ma copine, intervient Laure. Non mais alors !… Rends-moi le tube.
    
    Les mains aériennes de la douce Laure sur mes petits nichons !
    
    — Tourne-toi maintenant, Sophie, le spectacle est fini.
    
    Le rire que je vois dans ses yeux ne peut que m’inciter à lui obéir et nous voilà toutes deux couchées sur le ventre. Nos mousquetaires sont dépités, et ne savent que faire. Ils nous traiteraient volontiers de garces, leurs regards en font foi. Mais timides, et nous montrant l’herbe, au-delà de nos têtes folles :
    
    — On peut ?
    — Mais faites donc ! Et prenez de la crème pour vous si vous voulez.
    
    Les voilà aussitôt en slip de bain. Je ne les regarde pas, ou à peine. Bosselés, leurs slips, c’est bien la moindre des choses. Comme ils n’ont pas pris de couverture, ils s’allongent à même l’herbe.
    
    — On préférerait bien que vous nous la mettiez, cette crème…
    
    Laure ne répond que par un grognement. La voilà qui sommeille, maintenant ! Un bon mouvement, Sophie ? Quatre corps mâles de vingt ans à palper. Mais ses paupières un instant ouvertes m’interdisent de bouger. Elle vieillit bien, elle a pris de l’autorité, il me plaît de me conformer à ses désirs, quitte à me rattraper plus ...
    ... tard. Il est reposant d’obéir, parfois. Et surtout, je m’amuse.
    
    — …Vous venez de loin ?
    
    Je réponds non, elle dit oui. Cela nous fait rire, nous nous redressons légèrement. Quatre regards se fixent sur la naissance de nos seins. Ils viennent de les voir en entier, mais ils en veulent encore.
    
    — Vous allez jusqu’où ?
    — On rentre chez nous dimanche soir, dit Laure.
    — On n’a pas vu vos lits, là-haut. Il y a de la place à côté des nôtres. Vous êtes seules ?
    
    Appuyées sur nos coudes, cette fois c’est moi qui dis oui pendant que Laure dit non. Notre fou rire fait ballotter nos seins, dont ils peuvent voir les pointes encore érigées par leur frottement sur la couverture rêche. Ils viennent du Mont-Saint-Michel et vont jusqu’à Poitiers. L’année prochaine, ils feront Poitiers-Ronceveaux, carrément. Ils auront beaucoup plus de temps. Et nous ? Eh bien, nous, nous couchons à côté, dans les gîtes communaux, nous fêtons nos dix ans de bac. Pas possible, jeunes comme nous sommes ! N’en faites quand même pas trop, les mecs ! Ils voudraient cependant être tout à fait certains que nous n’avons rien contre les garçons, parce qu’en nous regardant faire, tout à l’heure, du haut de leurs fenêtres…
    
    — Rien contre les garçons ? Tout contre, plutôt, mais nous choisissons en connaissance de cause. Présentez-vous.
    
    Ce sont des copains. On l’avait bien subodoré, figurez-vous. Anciens chefs scouts d’Europe, trop de travail pour pouvoir continuer. Ah, les sportifs fachos ! Non, non, faut ...
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