1. Qui fait l'ange fait la chienne (1)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Hétéro Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... les films X, les mecs font aux filles. Comment ils les traitent ! Ce qu’elles acceptent de subir. L’un des trucs que je trouve le plus immonde, c’est quand le mec jouit dans la bouche de la femme.
    
    Donc, j’avais la trouille que Thibaud se soulage de cette manière.
    
    Un autre truc alimentait ma retenue. Le salop, direct après l’avoir extirpée de ma chatte, a enfourné sa grosse queue dans ma bouche. Elle dégoulinait grave de mouille, le goût et l’odeur étaient donc aussi bien dégueulasses. Bref, je me retenais un peu. Même si ça m’excitait de sentir ce gourdin coulisser entre mes lèvres, me remplir la bouche. Même si j’avais trop envie de lui donner du plaisir, je manquais de technique, de savoir-faire. Surtout qu’il devenait de plus en plus vulgaire. Il voulait que je « pompe comme une pute ». Une telle attitude me bloquait encore plus. Il n’a pas dû trop apprécier ma prestation parce que rapidement, après un « allez aspire, pompe ma bite, allez, applique-toi mieux salope », comme si je ne l’avais pas assez méritée, il a extirpé sèchement sa queue de ma bouche, et d’un ton sans appel : « Bon, ça suffit comme ça » et a ordonné « mais toi plutôt à quatre pattes, allez magne-toi. À quatre pattes, comme une chienne ».
    
    Je n’appréciais pas du tout le vocabulaire et pourtant, je n’ai pas fait d’histoire. Non, je ne me suis pas faite prier. Il a claqué mon derrière comme pour en éprouver la fermeté en exigeant : « Tends mieux ton petit cul ! Allez mieux que ça ! Bien cambrée. ...
    ... Comme une bonne petite salope. Un bon petit cul de bonne petite salope. »
    
    Maintenant que j’y repense, même s’il était trop grossier, je me rends bien compte que ce traitement m’excitait grave. En quelque sorte, il annonçait la couleur. Car, cette fois, il me l’a mise d’un coup jusqu’aux couilles. J’en ai eu carrément le souffle coupé. J’ai poussé un cri. J’ai demandé « doucement », mais il s’en foutait. À partir de ce moment-là, il n’a plus eu aucune retenue. En fait, il alternait, il faisait coulisser très lentement son engin, je sentais son immense barre sortir, centimètre par centimètre, presque entièrement de ma chatte et puis il l’enfilait tout aussi doucement, jusqu’à me la mettre bien profond, comme s’il voulait que je profite au maximum de toute la longueur du gourdin. Et indéniablement, j’étais transportée par cette incessante récompense, en attente de la répétition.
    
    Parfois, il coulissait encore plus lentement, pour que je réclame le remplissage et mes parois étaient des ventouses détrempées, je l’aspirais en moi, et là, sans prévenir, brusquement, par surprise, le salop rue, sa bite bute brusquement au fond de mon vagin, ses couilles s’écrasent contre les lèvres de ma fente et il cogne comme un bourrin.
    
    Bon Dieu !!! Ses coups de boutoir ! Ça vibre dans tout mon corps et, sans préavis, une nouvelle rupture de rythme, il recommence, des va-et-vient très lents, une décélération limite frustrante, mais pour mieux ensuite bourrer, carrément me défoncer, sans ...
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