1. Qui fait l'ange fait la chienne (1)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Hétéro Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... manière de me dire que j’étais belle !!! Qu’il n’avait jamais ressenti un tel coup de foudre. J’ai cru que mon cœur fondait !!!! Je vivais un conte de fées.
    
    Une fois chez lui, je n’étais pas encore tout à fait décidée à perdre ma virginité. Mais quand il m’a pris tendrement dans ses bras musclés, que ses lèvres ont soufflé « je t’aime », comment résister ? Mon instinct ne me trompait pas. Il était temps que je devienne une femme. Il était mon élu. À la fois si sûr de lui et si rassurant. Je n’avais qu’à me laisser faire. Ses mains, sa bouche, ses baisers, ses caresses, ses doigts si habiles pour dévoiler les secrets intimes et bientôt gémissants de ma féminité. Je n’avais jamais senti mes seins aussi gonflés, mes tétons aussi tendus et durs. Je n’ai pas une grosse poitrine mais mes mamelons sont terriblement sensibles. Il les a sucés, mordillés. Les ondes de plaisir irradiaient dans tout mon corps pour converger, se focaliser entre mes cuisses.
    
    Et quand, tout en aspirant à tour de rôle mes tétons, il a glissé sa main dans ma culotte et qu’il a commencé à titiller mon bouton de jouissance, c’était presque comme si j’avais trois clitoris et qu’ils se motivaient l’un l’autre.
    
    Sans même m’en rendre compte, je fus entièrement nue, frémissante de désir, ma timidité à l’épreuve de l’impudeur de ma chatte déjà toute trempée. Un peu inquiète quand même au moment où il a sorti son engin ! Qu’est-ce qu’il est bien monté ! Il se tenait au-dessus de moi, une muraille de muscles ...
    ... de presque deux mètres, dotée d’un énorme gourdin, un bélier de vingt centimètres, érigé vers moi !!! Prêt à me défoncer ? J’étais allongé sur le dos, à sa merci. N’allait-il pas m’étouffer sous son poids ? M’écraser de toute sa masse ? Me mutiler à vie en m’enfonçant dans le ventre son énorme pieu ? Mais il m’a rassurée, assurée que je n’aurai pas mal, qu’au contraire, j’allais me régaler. Et il ne mentait pas ! Il a certainement l’habitude avec les femmes. D’abord, il m’a fait mouiller comme une folle. Tout en titillant avec le pouce mon clitoris, il faisait aller et venir, suffisamment doucement pour ne pas me déflorer, son index dans mon sexe.
    
    Il ne cessait de m’encourager à me laisser aller. Mon bouton de jouissance irradiait, je coulais de plaisir.
    
    Que c’était bon. Bien meilleur que quand je me masturbe.
    
    Jusque-là, ses mots étaient délicats, encourageants. Ses propos sont devenus plus virils. Il m’a dit que j’étais prête à me faire baiser et il avait raison, je voulais trop qu’il me prenne. Il est monté sur moi. J’ai bien écarté les cuisses comme il me le demandait, il a passé ses larges mains en coupe sous mon derrière, a soulevé mon bassin, juste ce qu’il faut pour que je sois dans la position idéale. Une dernière recommandation : « Reste bien écartée salope et ne t’inquiète pas, je vais y aller en douceur » et par l’entrebâillement accueillant de ma fente, il a glissé délicatement son gourdin. M’ouvrir ne dépendait plus de moi. Envoyé en éclaireur, le gland a ...
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