1. L'abricot magique


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, couple, hépilé, hsoumis, fdomine, jeu, sm, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... gynécologique.
    
    Elle avait accès à toute son intimité, pouvant jouer avec son petit oiseau à sa guise, mais ayant également intégralement accès à ses fesses. Le sillon fessier était dépourvu de tout poil, son petit œillet palpitant offert, c’était la première fois qu’elle le voyait ainsi, totalement vulnérable, une provocation à la fessée. Elle parcourut de son majeur la raie de ses fesses, agaçant le petit trou qui se rétracta lorsqu’elle l’atteignit. Une tentation lui vint, il faudrait qu’elle s’en occupe vraiment un de ces jours, pas pour jouer au docteur en lui prenant sa température ou en lui introduisant un suppositoire. Non, elle pensait à quelque chose de plus rigolo, un rosebud avec une belle décoration en strass par exemple, ou même une petite queue en fausse fourrure s’amusa-t-elle. Et en acier inox bien lourd, cela montrerait encore plus son emprise sur lui, surtout si elle l’obligeait à le porter pour l’accompagner faire des courses.
    
    Elle gratta de son ongle un petit morceau de cire qui était resté collé sur la peau de ses bourses, ce qui le fit se crisper.
    
    — On ne bouge pas ! Et d’abord, tu as mérité une fessée, la salle de bains n’était vraiment pas comme je l’aurais voulue.
    
    Elle profita de ses fesses offertes pour lui assener une petite claque, ce qui ne provoqua pas de réaction. Elle tapa donc un peu plus fort, toujours sans réaction. Elle prit alors son élan pour prodiguer trois vraies et fortes claques sonores qui le firent sursauter dans ses ...
    ... liens et pousser de petits cris étouffés. Elle eut presque des remords en voyant la marque rouge de ses doigts sur les globes blancs et entreprit de les apaiser avec de petits baisers humides. Elle adorait cette sensation de possession totale, il était à sa merci, elle pouvait s’amuser comme elle voulait, c’était un jouet assez satisfaisant.
    
    Elle s’amusa ensuite à agacer l’oiseau avec sa langue, décalottant le gland violacé qu’elle suçota un temps, en savourant le goût, avant de remettre le petit capuchon, le laissant tout gémissant et frustré. Elle sentait sourdre en elle le désir, elle se sentait humide dans sa culotte, éprouvant le besoin cette fois d’aller jusqu’au bout. Mais il fallait continuer de contrôler. Elle alla donc éteindre la lumière et entreprit de se déshabiller dans le noir.
    
    — Mais, qu’est-ce que tu fais ? lui lança-t-il, je peux voir, s’il te plaît ? Je voudrais bien voir ta chatte épilée…
    — Même pas en rêve, lui répondit-elle, tu verras quand je le voudrai et ce n’est pas maintenant. Et d’abord, tu as oublié le « Princesse », tu as prononcé un « mais », cela va faire : deux plus un égal trois heures de cage de plus.
    — Non, je t’en supplie, Princesse…
    — « Non », cela fait encore deux heures.
    — Pitié…
    — Tu sais, tu ne peux pas voir dans le noir, mais elle est toute douce ma chatte, l’agaça-t-elle en se caressant l’entrejambe avec deux doigts à plat effectuant de petits mouvements circulaires. Et ma fente est toute mouillée, je la parcours avec mes ...
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