1. Au bonheur des dames


    Datte: 23/05/2019, Catégories: 2couples, copains, fête, école, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, théatre, théâtre, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... Je pourrais bien monter jusqu’à 900 yuans par jour !
    
    Sophie, Julie, Thomas
    
    Julie sort de l’arrière-boutique, échevelée, titubante. Sa jupe est de travers, son corsage est entrouvert sur ses seins nus. Elle tient dans sa main droite sa petite culotte et son soutien-gorge.
    
    Julie, à Sophie : Oh, je suis groggy, complétement groggy. Mais je reviendrai. Oh oui, je reviendrai ! Au revoir, Madame !
    
    Sophie : Ah mais attendez un peu, on ne s’en va pas comme ça ! Vous ne voulez pas le louer ?
    
    Julie : Là, j’ai ma dose ! Oh putain que c’était bon ! Je reviendrai ! Au revoir, Madame !
    
    Sophie : Non ! Ne partez pas si vite ! Il faut que je voie si vous ne me l’avez pas déglingué.
    
    Julie : Ce serait plutôt lui qui m’aurait déglinguée ! Oh là là !… Quel pied !
    
    Sophie : Ça, je veux bien le croire, vous en avez fait un raffut !
    
    Julie : Il a déchiré ma petite culotte, arraché mon soutien-gorge !
    
    Sophie : Qu’est-ce que vous lui avez dit ?
    
    Julie : Ben j’sais pas, moi : Thomas, dessape-moi en vitesse ! Enfin, quelque chose comme ça… Ah oui, aussi : je suis ta chose, fais de moi ce que tu veux. C’est ce que je disais à mon mari, au début.
    
    Sophie : Je veux bien qu’on les essaie, moi, mais ensuite il faut les louer ! C’est une maison sérieuse, ici.Elle crie : Thomas, viens !
    
    Thomas arrive, en finissant d’enfiler son boxer.
    
    Sophie, l’examinant : Bon, il a l’air à peu près en bon état. Mais vous l’avez griffé, là, dans le dos. C’est de la vraie peau humaine, ...
    ... qu’ils ont, cultivée pas les Japonais dans des bains spéciaux. La même que pour les greffes aux grands brûlés. Il faudra que je répare ça. Vous auriez pu faire attention, quand même.
    
    Julie : J’aurais bien voulu vous y voir ! Oh là là ! Oh là là ! Quand je vais raconter ça au bureau ! Ah, je vais vous en envoyer, des clientes, moi !
    
    Sophie : Si elles ne viennent que pour essayer, elles peuvent bien rester chez elles.
    
    Julie : Hein ? Oh mais faut pas vous tracasser comme ça, ma p’tite dame ! En s’y mettant à plusieurs on va bien vous en louer un, soyez tranquille. Mais enfin on a bien le droit de tester avant ! Allez, à très bientôt !
    
    Elle part, ses sous-vêtements à la main, sans même boutonner son corsage.
    
    Sophie, Thomas
    
    Sophie : Thomas, assis ! Tu es fringant, toi ! Toujours en forme, toujours disponible. Et quand on n’a pas besoin de toi, hop, dans un placard ! Il faudrait que je t’examine, que je te nettoie et que je remette du simili sperme dans ton réservoir. Tu as dû en gicler, hein ? Elle a eu son compte, la cliente ?
    
    Il reste souriant et muet.
    
    Sophie : Mais si je me mets à te tripoter, je sais comment ça va finir et il est trop tôt pour fermer la boutique. La banquière passera peut-être. Tiens, si je l’appelais ? Oh non, elle se figurerait que je suis aux abois. Il faut au contraire qu’elle pense que j’arrive à vous louer très facilement. Madame Martin va sûrement lui raconter, ça me fera de la publicité… N’empêche, même pour vous essayer, il va ...
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