1. Au bonheur des dames


    Datte: 23/05/2019, Catégories: 2couples, copains, fête, école, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, théatre, théâtre, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... sexe.
    
    Julie : Oh mais je ne le prêterai pas, je suis une fille sérieuse.Elle regarde Lucas : Celui-là aussi…
    
    Sophie : Oui.
    
    Julie : Ils sont au même prix ?
    
    Sophie : 500 yuans par jour.
    
    Julie : C’est cher !
    
    Sophie : Ça les vaut bien, croyez-moi.
    
    Julie : Par jour… Mais la nuit est comprise, quand même ?
    
    Sophie : Bien entendu. Je me suis mal exprimée. Par tranche de 24 heures.
    
    Julie : Où sont-ils fabriqués ?
    
    Sophie : Au japon. Avec le partage mondial des tâches, le Japon, depuis qu’il est sous domination chinoise, lui aussi, est spécialisé dans l’industrie du sexe, comme vous devez le savoir.
    
    Julie : J’ai encore du mal à me faire au yuan. En anciens euros, ça fait combien, 500 yuans ?
    
    Sophie : Environ 600 euros.
    
    Julie : Eh bien dites-donc !
    
    Sophie : Vous en aurez pour votre argent.
    
    Julie : On peut voir d’un peu plus près ?Montrant Thomas : On peut le déshabiller ?
    
    Sophie : Il le fait fort bien tout seul. Il suffit de commander. N’oubliez pas de prononcer d’abord son prénom, c’est ce qui le réinitialise. Thomas, déshabille-toi, mais conserve ton boxer.
    
    Thomas enlève tous ses vêtements sauf son boxer noir.
    
    Julie, appréciant : Oui, pas mal, bien sûr… Et… dessous ?
    
    Sophie : C’est en fonction du programme. En activité, à l’origine c’est 12 de longueur et 3 de diamètre parce qu’au japon les femmes sont fluettes et étroites. Moi, j’ai mis par défaut 19 de longueur et 5 de diamètre, ça me semble raisonnable.
    
    Julie : Par ...
    ... devant, oui. Par derrière, c’est peut-être excessif. Et vous seule pouvez modifier, si j’ai bien compris. Il faudrait améliorer cela, comprenez-vous. On ne va pas vous adresser un courriel chaque fois qu’on veut changer d’orifice.
    
    Sophie : J’en ferai part à mon fournisseur.
    
    Julie : Bon… eh bien… enfin… Comment fait-on, au juste, pour le faire bander ?
    
    Sophie : Rien de plus facile, c’est comme chez les humains, on tripote.
    
    Julie, tendant la main : Je peux essayer ?
    
    Sophie : Pas dans le magasin ! C’est pour cela, d’ailleurs, que je lui ai dit de garder son boxer. Mais vous pouvez aller avec lui dans le salon qui est derrière cette porte.
    
    Julie : Oh oui, merci beaucoup ! Que faut-il faire pour qu’il me suive ?
    
    Sophie : Il obéit aux ordres les plus courants : viens, suis-moi, assis, couché, debout, à genoux, caresse, lèche, tète, suce, aspire, pince, pénètre, etc. Il obéit à ma voix mais je vais le programmer pour qu’il obéisse aussi à la vôtre. Parlez !
    
    Julie : Qu’est-ce que je dois dire ?
    
    Sophie : Mais… ce que vous voulez. Que ça dure une dizaine de secondes, simplement.
    
    Elle clique à l’aide de la télécommande pendant que parle Julie.
    
    Julie : J’espère que j’en aurai pour mon argent en te louant, Thomas. Tu es bien foutu et nous allons sûrement passer d’excellents moments ensemble.
    
    Sophie : Ça va, il vous obéit maintenant. Vous pouvez aller dans le salon.
    
    Julie : Thomas, suis-moi !
    
    Ils disparaissent.
    
    Sophie, Lucas
    
    Sophie, debout, parle ...
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