Une paire de bottes en cuir... au débotté
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
chaussures,
prudes,
Auteur: Humoureux, Source: Revebebe
Avec ma femme Hélène, nous avons des relations sexuelles satisfaisantes mais qui manquent parfois de piment à mon gré. Je dirai que ma femme est du genre prude. Nous faisons toujours l’amour dans le noir. Varier les plaisirs n’est pas son genre. Mes tentatives pour la dévergonder se sont toujours soldées par un échec.
Par contre, j’ai le sentiment que nos amis Christiane et Bernard ont une vie sexuelle beaucoup libre que la nôtre (et la suite des évènements me le confirmera).
Je profite d’une soirée entre hommes avec Bernard pour me confesser…
— Tu sais, je m’entends très bien avec Hélène, mais notre relation amoureuse est sexuellement assez uniforme. Elle manque vraiment de piment, si tu vois ce que je veux dire. Nous faisons toujours l’amour de façon académique, dans le noir. Impossible de lui faire porter des tenues… disons… affriolantes. Je crains qu’avec le temps, notre vie sexuelle ne tombe dans la routine ; or, mon petit doigt me dit que votre couple est beaucoup plus ouvert. Dis-moi si je me trompe…
— Non, tu ne te trompes pas. Mais, si tu veux mon sentiment, il suffirait de pas grand chose pour faire basculer Hélène. Tu sais, au fond d’elle-même, toute femme fantasme. Tout est dans l’art de déclencher le premier évènement. Ensuite, tout s’enchaîne. Tu me comprends ?
— Certes. Mais j’ai tout essayé, et je me suis ramassé à chaque fois.
— Ecoute, il me vient une idée toute bête. Il me semble que vous venez dîner chez nous vendredi prochain. Je vais dire à ...
... ma femme qu’elle porte les bottes qu’elle vient d’acheter en ma compagnie. En cours de soirée, tu n’auras qu’à la féliciter sur sa paire de bottes noires. Je ne t’en dis pas plus…
Le vendredi soir, nous sommes donc chez Christiane et Bernard pour le dîner.
Christiane, belle femme dans la quarantaine, grande, élancée, porte une robe noire du plus bel effet et une paire de bottes noires en cuir qui lui vont à merveille. Bernard me fait un petit clin d’œil complice alors que nous nous installons, ma femme et moi, pour l’apéritif, dans une confortable banquette, face à la maîtresse de maison.
— Christiane, permettez-moi de vous féliciter. Vous avez une magnifique paire de bottes. N’est-ce pas, ma chérie ?
Hélène acquiesce alors que la maîtresse de maison se met à rougir.
— Vous savez, ce n’est pas uniquement le compliment qui la fait rougir. Ma chérie, raconte donc à nos amis dans quelles circonstances nous avons acheté ces bottes.
— Tu crois vraiment que je peux le leur dire ?
— Mais oui, ce sont d’excellents amis. Et je suis sûr que cela restera entre nous quatre.
— Eh bien, figurez-vous que ce jour-là, comme il faisait chaud et pour faire plaisir à Bernard, je suis sortie sans petite culotte. Nous avons aperçu ces bottes dans la vitrine du magasin de chaussures à deux pas d’ici. Nous sommes donc entrés. J’avoue que j’avais oublié que je ne portais pas de culotte. Si vous aviez vu la tête du vendeur pendant l’essayage, quand il a découvert toute mon intimité, ...