1. Instants furtifs (1)


    Datte: 21/05/2019, Catégories: Gay Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... lève avec précipitation pour ne pas le laisser s’éloigner. Après quelques pas, nous ne pouvons nous retenir et nous enlaçons avec force. Mon dieu que sa peau est douce ! Son short tombe miraculeusement au sol. Son sexe à demi durci se colle au mien. Sa langue suave envahit ma bouche. Un savoureux baiser s’éternise, nos langues s’agitent dans nos bouches détrempées. Mes mains se saisissent de ses fesses au galbe presque féminin et de son sexe plutôt bien proportionné. Ses deux bras m’enserrent avec douceur et pelotent mon dos et mon séant. Un doigt fureteur se glisse entre mes hémisphères et excite mon petit trou de mille arabesques. Je lui rends sa caresse à l’identique et nos corps fusionnent. Ma peau toute entière devient érogène et le moindre de ses mouvements me met en joie. Il ne nous vient pas à l’idée de nous branler tant la dureté de nos vits ne cesse de progresser au contact de celui de l’autre tandis que nos bourses se heurtent en une danse infernale. Je vais enfin vivre ce que je suis venu chercher lorsque je le sens soudain moins attentif, plus distrait. Il articule un peu affolé : « je vois mon ami(e) qui me cherche ! Désolé !» Et le voilà qui se sépare de moi et disparait de ma vue me laissant ainsi, manifestement plein de désir, tendu vers lui qui s’éloigne à grands pas.
    
    Les jours quatre et cinq s’avèrent sans autre intérêt que la baignade. Le temps est devenu plus frais, les baigneurs et autres bronzeurs plus rares. Je bénéficie des meilleures places ...
    ... dans la dune, les mieux exposées (ombre et soleil). Je me mets en scène mais le passant se fait rare. Il me reste la sieste et un peu de lecture entre deux baignades. Je lézarde au soleil et profite des bains de mer suivis de déambulations dans le sable humide. Souvent le sommeil me gagne et je compense l’effort pour rallier la plage en vélo par de courts et profonds sommeils. Un jour, un énorme géant me contemple soudain, allongé un peu plus loin, embusqué derrière ses lunettes de soleil. Je suis à la fois tenté et rebuté par sa massive stature qui risque de limiter la gestuelle amoureuse. Je finis par me désintéresser de lui et lui de moi.
    
    Peu à peu, mes fantasmes s’intéressent à nouveau plus aux jolis culs des filles et à leurs seins si différents et si agréables à regarder qu’aux phallus de leurs hommes. Je remarque mieux maintenant leurs efforts pour attirer le regard. Je me passionne pour ces cuisses ouvertes lorsqu’elles sont sur le dos. J’apprécie cette mise en vitrine de leurs grandes lèvres si disparates dans leurs formes et leurs dimensions. Elles sont souvent épilées, parfois artistiquement ornées de quelque courte fourrure aux formes géométriques. Je m’intéresse à ces fesses discrètement écartelées par de bizarres contorsions quand elles ont le nez dans le sable. J’admire cette petite poitrine qui s’attache fermement à sa propriétaire malgré les efforts physiques et une gestuelle sportive. Je retrouve du plaisir à contempler les mouvements de seins lourds qui ...