Laetitia 04 - Histoires de Sexe

Laetitia 04

... dans ma bouche je pourrais tout avaler et ne pas salir le plancher.

Timéa s'est approchée de moi avec quelque chose dans sa main libre qu'elle m'a tendue. C'était un collier et une laisse tous deux en cuir blanc.

— Attache cela à ton cou quand tu viens voir moi ou monsieur le directeur dans nos bureaux. Mets-toi à quatre pattes à côté du bureau de nos adjointes et demande-leur de venir te conduire à nous. Aujourd'hui, je vais tenir la laisse et la caméra.

— Oui madame!

Tout aussi rapidement, j'ai attaché le collier de cuir rêche à mon cou. J'avais déjà 3 grosses queues humides qui s'appuyaient contre mon visage.

J'ai attrapé le premier homme près de moi par la cuisse. Ce dernier m'a aidé et j'ai passé les bras autour de son corps. Je les entendais me traiter de salope. Je me suis retourné et j'ai vu Alice entre les jambes de Sussi. J'ai ensuite souri à la caméra que tenait Timéa et puis je me suis retournée vers le membre qui me caressait les cheveux. La drogue faisait son effet, je n'avais plus aucune inhibition.

J'ai senti des mains sur mes hanches. Et sans que je puisse m'y opposer, j'ai senti qu'on me soulevait. Quelques instants plus tard, je sentais une grosse queue me pénétrer. Le docteur s'est placé devant moi et il a pris une couette de mes cheveux pour diriger ma tête.

— Cela fait longtemps que je désirais te faire cela, salope.

Il a placé sa queue sur mes lèvres que j'ai immédiatement écartées. J'ai pris l'homme dans ma bouche voulant lui ...

... offrir une belle fellation. Je ne réalisais pas la taille de son engin. Il a rapidement rempli ma bouche sans que je puisse le prendre entièrement en moi. Je sentais des mains qui me caressaient un peu brusquement le ventre et les seins. Une main était dans le bas de mon dos et suivait ma raie vers mon troufignon. Quelques instants plus tard, je sentais les queues sur mon corps. Les hommes se masturbaient près de moi. J'adorais toute cette attention. Je sais que ce n'était pas seulement l'effet de la drogue. Je m'acceptais de plus en plus pour ce que j'étais : une réelle salope. Je réalisais que tout allait mal pour moi en ce moment. Je ne pourrais pas les contenir et de manière certaine des liquides se répandront au sol. Je ne pourrais même pas me contenir moi-même. Je sentais déjà l'orgasme s'approcher.

Je continuais ma fellation en m'aidant d'une main. L'homme devant moi semblait apprécier. Les hommes se parlaient, mais dans mon état je n'arrivais plus à comprendre ce qu'ils disaient. Les deux qui étaient de chacun de mes côtés concentraient leurs caresses sur mes mamelons qui étaient durs. Ils m'extirpaient soupirs et grognements.

J'entendais l'homme derrière moi haleter et je le sentais se tendre. Je me suis reculé vers lui pour qu'il jouisse profondément en moi. Je perdais la tête, mais je ne voulais pas perdre la bataille. Il m'a serré les hanches et il est resté en moi pour éjaculer en criant. Pendant ce temps, je mettais tout en œuvre pour faire jouir le docteur ...