Laetitia 04 - Histoires de Sexe

Laetitia 04

Dominique et Alain ont décrété une pause et ils m'ont apporté à manger. Cela faisait déjà plusieurs heures que je leur décrivais les sévices que j'avais dû endurer. À aucun moment, ils ne m'ont fait de commentaire. Ils se sont limités à me demander quelques précisions au sujet de mon récit.

Dominique prenait des notes dans un petit calepin, malgré l'enregistrement de notre conversation.

La pause a duré une bonne heure. Je n'avais plus aucune idée du temps et pendant leur absence je me suis assoupie sur la table. Quand ils sont revenus, je me suis mise immédiatement à leur raconter ma journée chez Sussi, ma supérieure à la maison de retraite.

***

Je me suis réveillé en sursautant. J'étais complètement désorientée, ma tête élançait, je ne savais pas où j'étais et je venais d'avoir un rêve étrange.

Mon rêve se déroulait à ma maison. Au début, Jean-Yves tentait de me baiser. Mais sa queue ne faisait pas cinq centimètres. Nous étions nus tous les deux en plein centre du salon. Les rideaux étaient fermés, l'atmosphère était lugubre. Dès que Jean-Yves s'est approché de moi, il s'est mis à éjaculer. Sa jouissance fut de courte durée et seulement deux ou trois gouttes de sperme se sont écoulées de son minuscule sexe. Il va sans dire que je n'avais eu aucun plaisir.

Puis j'entends des applaudissements. Je réalise que Myriam et Nancy, mes amies sont assises sur notre canapé entièrement nues elles aussi. Elles sont accompagnées de leurs maris qui comme tout le monde ...

... dans mon rêve sont nus. Et contrairement à Jean-Yves, les deux hommes ont des queues de chevaux. Pas moins de 40 centimètres en longueur et une épaisseur tout aussi impressionnante. Les deux femmes me disent que je fais tellement pitié avec mon mari impotent, qu'elles permettent à leurs maris de s'occuper de moi.

L'instant suivant, les deux hommes sont en moi. Un dans mon anus l'autre dans mon vagin. Je suis entre les deux hommes qui me pilonnent et me procure un plaisir indescriptible. Quand j'atteins mon orgasme, je vois Jean-Yves qui me regarde par le seuil de la porte d'entrée. Il est habillé pour son travail et Annie est à son bras. Il se retourne quand les deux hommes se mettent à me remplir de plusieurs litres de foutre qui me font gonfler.

Quand la porte se referme, mon ventre est distendu, comme si j'étais enceinte, mais je suis simplement pleine de foutre qui ne veut plus s'échapper de moi. Je suis maintenant seule dans le salon.

En me réveillant, je me suis caressé le ventre, mais il était toujours plat et je ne savais pas où j'étais.

***

Pendant plusieurs minutes j'ai écouté les bruits de la maison où je me trouvais. À part quelques craquements, elle est totalement silencieuse. J'étais dans une chambre au sous-sol avec une minuscule fenêtre qui donnait sur une margelle. Je ne pouvais que voir la lueur du jour. La porte était verrouillée solidement. J'ai un solide mal de tête, j'ai mal au cul et j'ai l'impression de sentir le sexe. Je suis entièrement ...