Laetitia 04 - Histoires de Sexe

Laetitia 04

... formée sur toute la longueur de sa verge. J'essayais de le garder dans ma bouche, mais il entrait et sortait sans que je puisse l'en empêcher. Il s'est mis à crier au moment qu'il était à l'extérieur de ma bouche que j'ai ouverte pleinement pour accueillir son offrande en essayant de ne pas en perdre une goutte. Heureusement que mes cheveux étaient sur la table pour recevoir les quelques gouttes qui ne se sont pas rendues à ma bouche.

L'homme qui me bourrait le con s'est joint au chant Peterson. Je sentais sa verge qui pulsait en moi. Il chialait et m'emplissait à la fois. Pour la première fois de ma vie, ma vulve contenait le foutre de deux hommes simultanément. De plus, ma bouche était pleine du foutre de Peterson. Timéa me masturbait passionnément, mais je crois que même sans cette stimulation physique j'aurais atteint l'orgasme qui me frappait maintenant pleinement.

Je me suis mise à trembler et à pleurer tout en m'époumonant sous le joug d'un orgasme dévastateur. J'avais heureusement avalé le sperme abondant de Peterson car je crois que sinon je me serais étouffé tant je ne contrôlais plus mon corps. Pendant ce qui m'a semblé de longues minutes, j'étais au nirvana sans même réaliser que l'homme qui venait de se déverser en moi avait encore une fois été remplacé par un autre. Mon corps était mou et je me laissais manipuler comme une poupée. L'homme qui venait de jouir en moi m'a fait glisser et a placé sa queue semi-rigide sur mes lèvres molles. Machinalement, ...

... j'ai léché ce sexe couvert du foutre de deux hommes et de ma cyprine.

La jouissance de l'homme qui m'utilisait m'a fait reprendre mes esprits. Timéa était à mon côté gauche maintenant et elle tournait un plan rapproché de mon sexe rempli par la verge noire de Roger. Je l'ai forcé à me pénétrer plus profondément en entourant ses hanches de mes jambes.

Je me remettais à peine de mon orgasme, mais de sentir cette grosse queue noire en moi m'envoyait de nouvelles vagues de plaisir. Puisque Timéa avait délaissé mon clitoris, j'ai décidé de m'en occuper moi même. Tout en essayant de me relever, je frottais frénétiquement mon berlingot d'une main. Au bout de mes doigts, mon sexe était comme une douce rose dont les pétales étaient gonflés. De l'autre main, je pinçais un mamelon qui avait été couvert du sperme d'un homme qui s'était branlé sur moi pendant que je m'étais évanoui. Je sentais mon corps couvert de sueur. Ma peau moite était d'une douceur exquise. Il ne m'a fallu que quelques secondes d'autostimulation pour atteindre un nouvel orgasme.

Cette fois, j'ai passé mes bras autour du cou de Roger et j'ai joui en l'embrassant goulument. J'ai eu l'impression que mon orgasme a eu un effet sur mon amant puisque je sentais encore sa queue raide qui pulsait en moi. La drogue avait pour effet de limiter mon monde à mon entourage rapproché. Bien que j'entendais des cris de jouissance lointains, je ne pouvais comprendre leur provenance. Je me contentais de caresser le corps musclé ...