1. Une drôle de pute


    Datte: 19/05/2019, Catégories: fh, boitenuit, Oral pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... Puisqu’elle veut jouer les amoureuses, autant continuer. Délicatement il la dénude comme pour les autres filles, caressant au passage des appâts fort appétissants.
    
    Il l’allonge sur le lit, se déshabille rapidement, reprend le baiser. Ses mains s’égarent sur les fesses somptueuses. Il descend vers les seins, pas très importants, mais fermes. Elle apprécie les lèvres qui sucent ses bourgeons qui se dressent. Visiblement elle prend du plaisir ou alors elle joue bien la comédie.
    
    Il descend vers le mont de Vénus, sa langue écarte les poils et vont dénicher le bouton. C’est elle qui pivote afin de prendre possession du pénis. Alain met toute sa science à déclencher le plaisir chez sa partenaire, qui de son côté le lui rend bien. Il s’arrache à cette succion délicieuse ne voulant pas exploser dans sa bouche.
    
    Elle revient alors sur lui et met elle-même la flèche en place dans sa cible. Elle garde l’initiative, conduit le débat avec beaucoup de professionnalisme. Et elle y prend beaucoup de plaisir, ou tout au moins elle joue très bien son rôle. Et quand elle pense que le jeu a assez duré, elle se bloque en criant son plaisir, provoquant celui de son partenaire.
    
    Ils sont retombés côte à côte. Alain est totalement séduit par cette fille. Il en a rarement eue d’aussi bonne. Il espère que quand elle aura son travail, elle abandonnera cette activité dégradante. Il aimerait lui dire qu’il l’aime, mais a peur de rompre le charme ou bien qu’elle joue le jeu pour justifier sa ...
    ... prestation.
    
    Ils se sont à nouveau aimés. Le plaisir a toujours été aussi grand pour lui. Elle n’a pas pu simuler les orgasmes qui la faisaient crier, ou bien c’est une actrice extraordinaire.
    
    Béatrice s’est endormie, mais Alain reste longtemps éveillé. Appuyé sur le coude, il la regarde, si belle, avec un visage aussi innocent.Mon dieu, que je l’aime, je vais la sauver.
    
    Il s’est éveillé le premier. Dans la cuisine il a préparé un plateau avec le café. Le bruit de la porte ou bien l’odeur du café l’ont réveillée. Se redressant, le buste nu au-dessus des draps, elle est stupéfaite de la gentillesse de son client.
    
    Elle s’est levée, s’est douchée. Ils ont déjeuné ensemble, Alain se dit qu’elle est parfaite.Dans quelques temps, ce sera merveilleux quand nous vivrons ensemble.
    
    — Alain, excuse-moi, mais il me faut partir, on m’attend. J’espère que nous nous reverrons.
    
    Cette phrase sonne comme un glas, le tire de son rêve, Alain retombe de son nuage. Il faut qu’elle apporte le fric à son homme. L’argent est déjà prêt dans une enveloppe. Il la raccompagne jusqu’à la porte, lui glisse dans la main son salaire.
    
    Elle sent ce papier, le regarde, ouvre l’enveloppe, voit l’argent. Elle pâlit, jette les billets, gifle à toute volée Alain et lui crie « Salaud !»
    
    Elle bondit dans les escaliers répétant « Salaud, salaud ! »
    
    Il reste figé, ne comprenant pas son attitude. Il a été correct, lui a remis la somme qu’elle avait honnêtement – si l’on peut dire – gagnée. Ou ...
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