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Angela 3
Datte: 19/05/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: mencheres, Source: xHamster
Elle n'aimait pas la façon dont il la regardait mais elle n'en tint pas compte. Elle devait se montrer sûre d'elle pour le convaincre de la libérer. Ne montrer aucun dégoût, aucune peur, sinon il s'en servirait contre elle. Elle allait tenter une nouvelle approche quand il fondit sur elle. Elle sursauta légèrement. «Je vais te faire visiter.» Dit-il. Il avait une voix profonde et grave, magnifique. De même que son physique, elle n'allait pas avec le personnage. Elle ne le voyait pas du tout violeur. S'ils c'étaient rencontré à un tout autre moment, elle se serait certainement intéressée à lui, quoi qu'il soit un peu vieux pour elle. Mais le fait est qu'il la retenait prisonnière. Comment puis-je penser à ça ? Se fustigea-t-elle. Il lui montra le salon et la cuisine, avec le bar américain, les deux chambres d'amis, la salle de bain commune aux deux, puis il finit par ce qu'elle supposait être sa chambre, puisqu'il s'arrêta devant la porte close quelques secondes, avant de l'ouvrir religieusement. Avant d'accéder à la chambre à proprement parlé il y avait un petit couloir avec sur la droite une porte, qui s'avéra être la salle de bain. La chambre était deux fois plus grande que les deux autres, avec un lit immense en forme de cercle, un coin bureau, une grande armoire et de grandes baies. Le tout dans des couleurs chaudes et s’harmonisant parfaitement. «Bien entendu, ce n'est pas le plus impressionnant.» Dit-il en la plaçant devant le mur face au lit qui ...
... était recouvert dans sa totalité par un miroir. Tout à coup, le miroir devant elle n'en était plus un. Elle avait sous les yeux une pièce qui faisait la moitié de la chambre. À droite, un lit à barreau entièrement noir, draps comprit, au centre, des choses dont elle ne connaissait pas l'usage et à gauche, une salle de bain sans murs ni rideaux pour la cacher du reste de la pièce. Elle se demanda ce que cette pièce pouvait bien être quand Vaughn la poussa vers la paroi. «Et c'est ta chambre ma jolie.» Lui susurra-t-il à l'oreille avant d'ouvrir une porte qu'elle n'avait même pas vue. Il la força à entrer dans la pièce et referma la porte derrière eux. Puis il détacha ses mains. Ses poignets la brûlaient mais elle se refusait à montrer qu'elle avait mal. «Combien voulez-vous ?» Demanda-t-elle d'une voix qu'elle espéra sûr. À son plus grand étonnement il éclata de rire. Il ne put s'en empêcher. Elle n'avait donc pas encore comprit ? Elle était pourtant si intelligente ! «Je ne veux pas de l'argent de tes parents, tu ne l’as pas compris ?» «Vous pourriez arrêter de travailler pour ce type que vous n'aimez pas, avoir un tas d'argent simplement en me relâchant !» «Mon chaton, j'aime l'argent mais j'aime aussi le travail que je fais même si je n'aime pas le patron. Et il me paie assez bien pour que les deux se concilient. Que demander de plus ?» «Plus d'argent.» Il rit encore. «Inutile de gaspiller ta salive pour des babillages. La seule chose ...