1. L'Île de Marana Chapitre 12


    Datte: 18/05/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica

    ... Je n'y croyais pas, réponds-je. Quand vous me racontiez des histoires de déesses, je croyais que c'était comme en France, on parle de Dieu, mais personne ne l'a jamais vu. Ce sont des dogmes, on demande d'avoir la Foi. Mais quand je suis entré, j'étais dans une sorte de néant blanc, je ne peux pas dire que je flottais, j'étais dans Rien. Et tout à coup, une voix indescriptible est venue dans ma tête comme de partout et de nulle part. Une voix indescriptible mais c'était la plus belle voix du monde, je ressentais ses intonations dans tout mon être comme si elles s'insinuait partout en moi. Une main géante et douce m'a pris par la taille. Je ne voyais que la main et un peu du poignet. C'était une main de femme noire. Je me suis retrouvé dans une clairière, de l'herbe verte, un vert lumineux, jamais vu auparavant. Et tout à coup, la déesse H'Arhia était en face de moi, la plus grande et plus belle femme que je n'avais jamais vue. Je lui arrivais à peine aux genoux, et pourtant, je savais qu'elle m'aimait et ne voulait que mon bonheur. Je l'ai adorée tout de suite. Elle m'a dit que j'étais sa création, que j'étais nez de l'Univers, et que j'allais aider à reconquérir le monde pour les Mars. Elle m'a embrassé, et je sais que je lui appartiendrai pour toujours.
    
    — Tu as donc vraiment vu notre déesse. Elle t'adore Arno, elle t'a attendu depuis des milliers d'années.
    
    — Toute la population de Marana attend ce moment, intervient T'Asha. J'étais pratiquement certaine que c'était ...
    ... toi quand tu as bu à la source de Mar'Oda, et quand je t'ai revu sur la route de Mar'Salla, j'étais certaine. Maintenant, tu es à nous.
    
    — Comment étiez-vous certaine? Demandé-je.
    
    — Parce que tu avais le bon comportement. Tu n'as pas arrêté de dire que tu adorais les femmes comme nous, que tu adorais nos lois et nos traditions. Et maintenant, regarde, tu as abandonné l'idée de porter des vêtements. — Je n'ai pas le choix, réponds-je.
    
    — Vraiment? Dans ce cas, allons prendre des vêtements, et tu ne seras plus jamais nu avec moi.
    
    — Non, m'écrié-je, je veux vivre tout nu avec vous.
    
    — Dans ce cas, tu comprends que tu as le choix, c'est toi qui veux vivre nu avec nous?
    
    — Oui, admets-je.
    
    — Je ne veux plus jamais t'entendre dire le contraire, tu ne demanderas plus jamais de vêtements, et tu diras à tout le monde que tu aimes vivre nu et que c'est toi qui l'as demandé, compris?
    
    — Oui madame, réponds-je impressionné par son ton de commandement.
    
    — N'oublie jamais ceci, Arno, tu es béni et protégé par les déesses, mais cela n'empêchera jamais une punition de notre part si tu ne te comportes pas bien.
    
    — Oui madame, réponds-je encore.
    
    Etre si petit et se faire donner des remontrances est encore plus humiliant, je n'ai plus le choix, c'est mon monde de vie. Quand je me retrouve au sol, je suis contre sa cuisse gainée de cuir noir, et mon corps adore ce contact, je lève la tête pour voir ces splendides femmes géantes. Je me sens le plus chanceux du monde d'avoir ...
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