1. Au café de mon copain Zac (2)


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: Kaidan, Source: Xstory

    ... poignet pour m’abattre.
    
    C’est cette main, celle de l’alliance matrimoniale, celle qui s’active le long de ma tige qui fait moi un bouchon sur le point d’être propulsé à toute vitesse au travers de la pièce. Je n’ai pas pu, un seul instant, détourner mon regard de cette main, la voir trahir ses vœux me rend marteau, ça me donne même un sentiment de toute puissance, je me sens invincible. Je vis un drame lorsque sa langue se détourne de mon organe pour asséner un assaut glacé à mon copain Zac. Heureusement, pour le bien de ma santé mentale, elle continue d’une main de maître de manipuler avec largesse mon levier. Je vais la déboîter, je vais la faire crier quitte à rameuter son cocu de mari apparemment aucune idée d’à quel point sa femme est une véritable dépravée. Cette Françoise a vu le jour pour tourner dans des cafés, il lui aura juste fallu du temps pour atterrir au bon endroit.
    
    Il ne fait plus aucun doute qu’elle adore ça, elle s’en donne à cœur joie, toute pudeur est enterrée. Je l’entends gargouiller et "glaglagla" qu’elle nous dit dans sa langue de salope. Je suis déçu de ne pas être bilingue pour comprendre ce qu’elle nous dit, même si j’ai bien une grossière idée du sens caché de cette phrase. Je reste captivé par le spectacle de cette femme mature, qui l’eut cru, un instant, elle est une femme respectable, celui d’après elle bouffe goulûment une bite en produisant des bruits ridicules sans s’en apercevoir. C’est un sacré numéro cette Françoise, la mater ...
    ... pomper le dard de mon copain Zac, c’est de l’art. Je suis Léonard, et elle est ma Joconde, notre sperme sera la touche finale de ce merveilleux tableau.
    
    Elle revient vers moi, la bouche grande ouverte, elle est animée d’une passion dévorante, cette luxure dont elle fait preuve est tout ce dont j’ai besoin pour enfoncer ma bite dans sa gorge. Je bloque sa tronche contre mon pubis, j’espère qu’elle aime mon odeur ou elle risque de passer un sale quart d’heure. Je la sens, la langue de cette garce, même le gosier entravé par mon chibre, elle agite sa langue pour me caresser. Je la regarde dans les yeux, je vois son regard qu’elle veut bien faire, qu’elle redouble d’efforts pour me satisfaire.
    
    Je lui en suis reconnaissant, vraiment, alors pour la récompenser, bon prince que je suis, j’extirpe ma verge trempée de sa gueule pour promener mon gland sur sa face, tout y passe ; les joues, le front, le nez, le menton, les paupières, je n’oublie rien et je fais même deux tours pour m’assurer que tout est bon comme un vrai professionnel formé à la manœuvre. Sa tronche fait maintenant peine à voir, sans parler du mascara qui a coulé de ses yeux, des mèches rebelles grossièrement dispersées habillant son front. Tout son visage brille et pue ma bite. Le tableau est chef d’œuvre, cependant il lui manque toujours la touche finale. Je souris en coin et lance un regard complice à camarade, il acquiesce.
    
    Notre bite en main, nous nous branlons avec vigueur au-dessus de cette salope de ...