1. Au café de mon copain Zac (2)


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: Kaidan, Source: Xstory

    — Je m’appelle Françoise...
    
    — Quoi ?
    
    — Mon nom est Françoise.
    
    — Qu’est-ce que tu baragouines là, je t’ai dit de nous sucer, pas de te présenter, je m’en bats les reins de ton nom poulette.
    
    Je ne suis pas d’humeur à causer, j’ai une trique assassine, brûlante et gourmande. Tout ce que je veux, tout ce que je désire, c’est éteindre ce barreau incandescent au fond de son gosier. Et elle, plutôt que d’user de sa langue pour d’étreindre, elle me balance son nom ? Ma chair palpite sous son nez et elle, cette connasse, pense que m’apprendre son prénom changera la situation. Peut-être cette gourde croit-elle, à tort évidemment, que la connaissance de son prénom rendra l’acte à suivre décent, que cela fera d’elle une femme plus respectable, Madame a des valeurs, Madame n’est pas le genre de femme à s’étrangler le nez fourré dans des poils de bite sans connaître le nom du bourreau.
    
    Aujourd’hui, elle a été condamnée à devenir une traînée de café et elle a accepté la peine, elle s’est même résignée docilement, en retour, elle demande d’humaniser ne serait-ce qu’un peu la sentence. Au fond, tout ce que cette bonne dame demande est de savoir à qui elle a affaire. Très bien, je peux taire mon envie primaire un court instant et lui offrir le répit escompté.
    
    — Moi c’est Sam.
    
    Ma patience s’est envolée, je lui ai donné ce qu’elle voulait, à moi d’obtenir ce que je veux. Ma grosse paluche vient aussitôt saisir son crâne pour l’approcher de mon gland violacé, prêt à éclater. ...
    ... Je la vois sortir la langue, l’instant approche, la pointe rosée bientôt m’apportera le réconfort tant attendu. Mon visage se tord, j’appréhende le choc à venir, la lueur de mon regard n’est plus celle d’un homme sous l’influence de l’alcool, mais celle d’une bête sur le point d’enfoncer ses crocs dans une proie juteuse suite à un long jeûne. Mon esprit décroche, mon âme noire est libérée, je me vois d’en haut, je nous vois tous. Le temps se fige, je déglutis, va-t-elle enfin me sucer bon sang ? Pourquoi cela prend-il autant de temps, que se passe-t-il ? Qu’on me délivre, par pitié, de cet enfer. C’est insoutenable, je ne peux plus tenir, je n’en ai plus la force. Mon front est paré de perles de sueurs, tout comme mon dos. Je dois puer l’animal affamé.
    
    Et puis, enfin, cette langue pourtant si anodine me délivre de ma torpeur. Un tourbillon m’assaille, c’est le bonheur, j’ai l’impression de vivre à nouveau, mes poumons se gonflent, l’air est pur. La langue de Françoise délie la mienne et je bredouille avec aise le plaisir de la sentir enrouler son organe autour du sommet de ma masculinité. Ma bouche s’ouvre davantage pour laisser d’entre mes lèvres s’échapper des râles rauques. Au chaud, dans le creux de sa main, mes couilles pleines sont dorlotées. J’ai hâte de les vider, mais d’abord, je la laisse me transformer en pantin bienheureux, car en cet instant, ma queue est le fil conducteur qui contrôle tout mon corps et il lui suffit dès lors d’un simple, mais habile coup de ...
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